DN MADE Mode & Éditorial : à l’ORT Strasbourg, la mode se raconte en images

Le DN MADE Mode & Éditorial de l’ORT Strasbourg est une formation originale qui croise création vestimentaire et communication visuelle. En trois ans, les étudiants apprennent à imaginer des collections de mode. Ils apprennent aussi à construire un univers éditorial pour les mettre en valeur. En effet, dans un secteur où l’image décide de la visibilité d’une marque, cette double compétence devient essentielle. Ainsi, les projets mêlent vêtements, photos, graphisme, vidéo courte et narration digitale pour que la collection trouve son public. De plus, les étudiants conçoivent des lookbooks, magazines, affiches, visuels numériques et contenus social media. Clara, en deuxième année, résume l’esprit du parcours en affirmant qu’« il ne suffit pas de créer une robe : il faut aussi apprendre à raconter son histoire et à transmettre une émotion ». Par conséquent, le cursus valorise autant la qualité de la pièce que la force de son récit visuel. Le DN MADE : trois années pour apprendre à créer et à raconter Première année de DN MADE : poser les bases de la mode et de l’éditorial La première année est consacrée aux fondamentaux. Ainsi, les étudiants découvrent le dessin, le patronage et la couture. Ils s’initient aussi à la communication visuelle et à l’histoire du design. En parallèle, ils se forment aux outils numériques comme la PAO et la CAO, à la photographie et aux règles de mise en page. Yaël, qui vient de terminer sa première année, raconte qu’elle a été surprise par la diversité des cours. Elle confie : « Je pensais qu’on allait surtout faire de la couture. Mais j’ai aussi appris à composer une affiche, à choisir une typographie et à maqueter un mini-magazine. » En somme, cette première étape donne une vision globale de la mode comme écosystème créatif, où vêtement et image avancent ensemble. Deuxième année de DN MADE : expérimenter et professionnaliser En deuxième année, les projets gagnent en ampleur. De ce fait, les étudiants travaillent souvent en équipe pour concevoir des collections complètes et assurer leur communication éditoriale. Ils apprennent à gérer un planning et à répartir les rôles : stylisme, direction artistique, photographie ou montage. Par ailleurs, ils découvrent l’importance de respecter des contraintes précises tout en maintenant une forte créativité. Le stage en entreprise constitue un moment clé. Hugo, parti dans un studio parisien, explique qu’« il a dû proposer des idées de contenus pour Instagram. Il a aussi esquissé une campagne visuelle et participé à la mise en page d’un catalogue ». Ainsi, l’immersion confirme la polyvalence attendue dans les métiers de la mode et de la communication. Troisième année de DN MADE : affirmer une identité créative La dernière année est centrée sur le projet personnel de fin d’études. Concrètement, chaque étudiant réalise une mini-collection accompagnée de son univers visuel. Cela comprend un lookbook, des supports de communication et une présentation multimédia. Sarah, en troisième année de DN MADE, développe un projet autour de la mode durable. Elle explique : « Je veux prouver qu’une mode responsable peut être esthétique. J’ai créé un magazine numérique qui raconte toutes les étapes, de la récupération des tissus à la réalisation finale. » Dès lors, l’épreuve finale devient une vitrine professionnelle. Elle met en valeur la créativité, la maîtrise technique et le sens du récit. Projets concrets et outils professionnels en DN MADE Afin de rendre l’apprentissage opérationnel, l’ORT Strasbourg intègre des workshops thématiques. Les étudiants y explorent la direction artistique d’un lookbook, la production d’un mini-éditorial et la création d’une charte iconographique de marque. De plus, ils s’initient aux briefs clients. Ils apprennent à rédiger une note d’intention et à défendre leurs choix lors d’une présentation. Ainsi, ils s’exercent à passer du concept à l’objet, puis de l’objet à l’image. Côté outils, les ateliers en DN MADE sont pensés pour la production textile et la création visuelle. En particulier, les étudiants pratiquent les logiciels de mise en page, la retouche photo et la prise de vue en lumière continue. Par conséquent, ils apprennent à adapter leurs livrables aux différents canaux : affiche, PDF interactif, story verticale ou carrousel. Jonas, en deuxième année, observe qu’« il s’est découvert autant d’intérêt pour le graphisme que pour la couture. Le parcours lui permet d’assembler ces deux passions en un seul profil ». L’éditorial au service de la collection Au-delà de la technique, le parcours insiste sur la cohérence du récit. En effet, de la première moodboard au teaser vidéo, chaque élément prolonge l’intention de la collection. Ainsi, un même thème peut vivre en magazine, en microsite ou en campagne digitale tout en gardant une identité claire. Par ailleurs, les étudiants apprennent à bâtir une stratégie de diffusion. Ils construisent un calendrier éditorial et découpent leurs contenus selon les plateformes. Yaël remarque qu’« un lookbook efficace n’est pas seulement un album d’images. C’est une narration qui guide le regard et situe la pièce dans un univers ». Au final, la collection n’existe vraiment que lorsqu’elle rencontre son public. Vie de studio : collaboration et posture professionnelle Dans les ateliers, la collaboration est quotidienne. Ainsi, un groupe peut réunir styliste, photographe, designer graphique et chargé éditorial. De plus, les rôles tournent pour que chacun comprenne les contraintes des autres métiers. En conséquence, la prise de décision s’appuie sur des documents partagés : planches tendances, chemin de fer, charte photo ou grille typographique. Clara souligne qu’« apprendre à justifier un choix de cadrage ou une hiérarchie de titres est aussi formateur que réussir un patronnage ». Toutefois, l’école veille à l’éthique des images. Les étudiants abordent les notions de consentement des modèles, de droit à l’image et de sources visuelles. Par ailleurs, un module est dédié à la veille des tendances et à la responsabilité sociale. Dès lors, les diplômés sortent avec une culture visuelle solide et une posture professionnelle crédible. Les compétences clés en sortie de DN MADE Le parcours DN MADE Mode & Editorial (RNCP 36948) permet d’acquérir des compétences créatives, techniques et stratégiques : En somme, les diplômés savent autant créer
Trois ans pour devenir créatrice : mon parcours au DN MADE Mode de l’ORT Strasbourg

Choisir le DN MADE Mode et Textiles de l’ORT Strasbourg, c’est s’engager dans un cursus de trois ans. Ce diplôme forme des créateurs et des concepteurs textiles capables d’imaginer, de prototyper et de concrétiser des projets innovants. En effet, le DN MADE prépare aux métiers d’art et du design. Il met l’accent sur l’expérimentation et sur la capacité à transformer une idée en réalisation concrète. Ainsi, Camille, étudiante en deuxième année, explique qu’elle a compris dès la première semaine que la formation allait la pousser bien au-delà de ce qu’elle pensait savoir faire. Elle ajoute qu’on y apprend à coudre, mais aussi à analyser les matières et à comprendre les enjeux de chaque choix. De plus, à Strasbourg, ville au patrimoine textile et artistique fort, cette formation prend un relief particulier. Par conséquent, l’ORT Strasbourg, reconnu pour la qualité de son enseignement et son accompagnement, offre un cadre stimulant. Le DN MADE : trois années pour construire un parcours créatif Première année du DN MADE : découvrir et expérimenter La première année du DN MADE Mode sert d’introduction. On y découvre les fondamentaux : matières, fibres, techniques de couture et de tissage. Les étudiants apprennent à analyser la texture et les propriétés des textiles, à concevoir des échantillons et à donner vie à leurs premières créations. Ainsi, Camille explique qu’elle a adoré manipuler les tissus et comprendre leurs réactions. Elle ajoute qu’elle a trouvé passionnant de voir un simple croquis devenir un objet concret pendant son DN MADE. En somme, cette année permet aussi de développer une culture artistique et design solide. En effet, les cours d’histoire de l’art, de communication et d’anglais enrichissent le regard créatif. Deuxième année du DN MADE : approfondir et professionnaliser En deuxième année de DN MADE, les projets deviennent plus ambitieux. Les étudiants travaillent sur des ateliers encadrés par des professionnels et comprennent mieux les réalités du secteur. En effet, l’expérimentation reste centrale, mais elle s’accompagne de contraintes techniques, de délais précis et d’objectifs concrets. Ainsi, un moment clé de cette année est le stage en entreprise. Camille a découvert un atelier textile spécialisé dans les fibres innovantes. Elle explique que ce stage a été une révélation. Elle a travaillé sur des prototypes intégrant des matières recyclées et a compris qu’elle voulait orienter son projet vers la mode durable. Par conséquent, cette expérience marque souvent un déclic. De plus, elle montre ce que signifie réellement travailler dans la mode, du stylisme à la conception textile. Troisième année du DN MADE : créer et s’affirmer La troisième année est celle de la maturité. Chaque étudiant consacre son temps à un projet personnel de fin d’études. C’est l’occasion de montrer sa créativité, sa maîtrise technique et sa capacité à innover. Pourtant, ce projet n’est pas seulement un exercice académique. En réalité, il constitue aussi une vitrine des compétences acquises. Ainsi, pour Camille, ce projet est un aboutissement. Elle prépare une mini-collection de vêtements réalisés à partir de textiles de récupération. Elle veut démontrer que la mode peut être à la fois belle et responsable. Dès lors, la troisième année prépare aussi la suite : une insertion professionnelle ou une poursuite d’études. Des compétences variées et recherchées Le DN MADE Mode (RNCP 36948) développe une large palette de compétences : En effet, ces acquis permettent aux étudiants de s’adapter à un secteur en évolution constante. De plus, ils offrent une base solide pour relever les défis techniques et créatifs de la mode. Par ailleurs, ces compétences répondent aux attentes des entreprises qui recherchent des profils polyvalents. Des débouchés concrets dans la mode et le design après le DN MADE À l’issue du DN MADE, plusieurs perspectives s’ouvrent. Certains étudiants rejoignent directement le marché du travail comme designers textiles, stylistes ou assistants créateurs. D’autres poursuivent leurs études vers un DSAA, un Master en design ou un DNSEP. En effet, le diplôme est reconnu nationalement et valorisé par les entreprises. Grâce au stage de plusieurs mois intégré au cursus, les étudiants sortent avec une première expérience significative. Par ailleurs, Camille souhaite prolonger son parcours en DSAA. Elle veut approfondir ses recherches sur les matériaux durables tout en restant proche de l’univers créatif. L’ORT Strasbourg, un cadre idéal pour réussir son DN MADE Ce qui distingue le DN MADE Mode et Textiles de l’ORT Strasbourg, c’est la qualité de l’accompagnement. L’école met à disposition des ateliers modernes, des enseignants expérimentés et un suivi personnalisé. Ainsi, Camille souligne qu’elle apprécie la liberté d’expérimenter dans un cadre structuré. Les enseignants laissent de la place à la créativité tout en préparant les étudiants aux réalités du métier. Par ailleurs, l’ORT Strasbourg s’appuie sur un réseau d’entreprises locales et internationales. Grâce à ses partenariats et à la mobilité Erasmus+, les étudiants enrichissent leur parcours et découvrent d’autres horizons. Conclusion Le DN MADE Mode et Textiles de l’ORT Strasbourg est bien plus qu’une formation. C’est une expérience de trois ans qui permet de développer sa créativité, d’acquérir des compétences solides et de se préparer à une carrière dans la mode et le design. En conclusion, Camille illustre la richesse de ce parcours. Découverte des matières, confrontation aux réalités du secteur, projets ambitieux et ouverture vers l’avenir font partie de son quotidien. Elle reconnaît qu’en regardant ses premières créations, elle mesure le chemin parcouru. Elle a appris à transformer une idée en vêtement, à défendre ses choix et à penser à l’impact de ses projets. En somme, pour elle, devenir créatrice, c’est donner vie à ses idées tout en leur donnant un sens. Fondé en 1946, ORT Strasbourg est un établissement du réseau ORT France, accueillant des élèves de la seconde au Bac+3. Situé au cœur de Strasbourg, notre campus propose des formations en initial et en alternance, adaptées aux exigences du marché. Nous mettons l’accent sur un enseignement de qualité, encadré par une équipe pédagogique compétente et attentive, favorisant l’épanouissement et la réussite de chaque étudiant.
Ils tissent leur avenir : au cœur du DN MADE spécialisé dans le textile

Créer, imaginer, transformer. C’est le quotidien des étudiants du DN MADE Mode & Textiles sur le campus d’ORT Strasbourg. Cette formation unique mêle savoir-faire traditionnel et création contemporaine. Ainsi, elle plonge les étudiants dans un univers vivant, où les matières racontent des histoires et où chaque fil compte. DN MADE à l’ORT Strasbourg : un diplôme entre mode et art textile Le DN MADE, ou Diplôme National des Métiers d’Art et du Design, attire des jeunes passionnés par le textile. Pendant trois ans, à ORT Strasbourg, ils découvrent toutes les facettes de ce matériau grâce à l’option Mode & Textile : motifs, couleurs, textures, tissages, broderies. Chaque détail compte. Ici, pas de place pour les clichés. Au contraire, cette formation valorise l’expérimentation à chaque étape. Ainsi, les étudiants créent des pièces uniques, inspirées des tendances, de leurs idées et de leurs envies. Jour après jour, ils touchent à tout : design textile, stylisme, couture, dessin, modélisme. Progressivement, ils apprennent les gestes techniques. En parallèle, ils développent un regard neuf sur la mode. Par conséquent, ils questionnent les modes de consommation. Ensuite, ils s’interrogent sur l’avenir du textile. Grâce aux ateliers bien équipés, ils évoluent dans un terrain de jeu idéal. De ce fait, chaque jour devient une opportunité d’apprendre, de tester ou d’innover. Etudier en DN MADE Mode & Textiles : un quotidien fait de gestes et de créativité Dès qu’on pousse la porte des ateliers d’ORT Strasbourg, l’énergie est palpable. D’un côté, on coupe. De l’autre, on coud. Plus loin, on brode un motif ou on expérimente des teintures naturelles. Partout, le textile est au cœur de tout. Par moments, chaque étudiant imagine et réalise ses propres projets. Certains revisitent des techniques anciennes comme le tissage manuel. D’autres testent des matériaux innovants ou recyclés. Tous dialoguent avec la matière, explorent sans relâche, osent et repoussent les limites. Très souvent, les jeunes créateurs alternent pratique et réflexion. De plus, des modules de recherche enrichissent leur parcours : histoire de la mode, savoir-faire textiles du monde, innovations techniques. Ainsi, ces connaissances nourrissent leur créativité et ouvrent de nouvelles pistes. En conséquence, ils apprennent à aller toujours plus loin. Des métiers qui évoluent Au fil des semestres, les étudiants acquièrent une vision complète des métiers du textile. Depuis la première idée jusqu’à la réalisation concrète, ils développent des compétences solides : artistiques, techniques, méthodologiques. Petit à petit, ils prennent confiance. Par ailleurs, ils sont accompagnés par des enseignants passionnés et des professionnels du secteur. Ensemble, ils découvrent les mutations du textile : éco-conception, circuits courts, matériaux durables, nouvelles technologies. En effet, c’est un secteur qui bouge, et ils avancent avec lui. Parallèlement, des conférences enrichissent leurs réflexions. De surcroît, des workshops nourrissent leur inspiration. De même, des collaborations variées leur permettent d’aller plus loin. À chaque projet concret : défilés, expositions, événements, ils se frottent aux exigences du terrain. Ainsi, ils renforcent sans cesse leur expérience en DN MADE. Strasbourg, un terreau créatif Le campus ORT est niché au cœur de Strasbourg. La ville, dynamique et européenne, offre un cadre stimulant. Son patrimoine riche, sa culture foisonnante, son engagement écologique nourrissent les étudiants au quotidien. Par conséquent, chaque balade devient une source d’inspiration. En outre, le DN MADE favorise l’ouverture vers d’autres horizons. Par exemple, les échanges avec des écoles, les stages en entreprise et les projets internationaux enrichissent les parcours. À chaque occasion, ils élargissent leur regard et renforcent leur réseau. De cette manière, ils préparent leur avenir avec confiance. DN MADE Mode & Textiles : Des débouchés variés À la fin du DN MADE Mode & Textiles à ORT Strasbourg, plusieurs chemins s’ouvrent. Certains rejoignent des écoles de design. D’autres poursuivent en master. Beaucoup se lancent dans le monde du travail. Chaque choix est possible. Ainsi, certains deviennent stylistes. D’autres optent pour le design textile. Quelques-uns se dirigent vers le costume ou la création indépendante. Parfois, ils s’orientent vers l’innovation textile, le développement durable ou le design de surface. Par conséquent, les métiers évoluent, et eux aussi. Grâce à leur formation en DN MADE, ils maîtrisent les gestes de création. De plus, ils savent utiliser les outils numériques. Surtout, ils apprennent à penser différemment et à donner du sens à leurs créations. En résumé, cette double compétence est précieuse dans un secteur en mutation. Laisser parler la matière Derrière chaque création textile, il y a une histoire. Les étudiants du DN MADE Mode & Textiles d’ORT Strasbourg apprennent à raconter ces histoires avec leurs mains et leur imagination. Chacun progresse à son rythme, en explorant sans cesse. Ainsi, ils deviennent des créateurs engagés. Peu à peu, ils transforment un simple tissu en œuvre d’art. Dès lors, ils tissent leur avenir, fil après fil, projet après projet. Finalement, ils sont les artisans d’une mode plus créative, plus responsable, plus humaine. Fondé en 1946, ORT Strasbourg est un établissement du réseau ORT France, accueillant des élèves de la seconde au Bac+3. Situé au cœur de Strasbourg, notre campus propose des formations en initial et en alternance, adaptées aux exigences du marché. Nous mettons l’accent sur un enseignement de qualité, encadré par une équipe pédagogique compétente et attentive, favorisant l’épanouissement et la réussite de chaque étudiant.
ORT Strasbourg : le journal des élèves remporte le Prix Coup de cœur Médiatiks 2025

Le journal scolaire de l’ORT Strasbourg a décroché le très convoité Prix Coup de cœur du jury Médiatiks 2025 dans la catégorie des lycées. Ce concours, organisé par le CLEMI (Centre pour l’éducation aux médias et à l’information), valorise chaque année les meilleures productions médiatiques des établissements scolaires. Un journal centré sur le thème du « Voyage » Publié mi-avril 2025, le 7e numéro du journal des élèves et étudiants de l’ORT Strasbourg a séduit le jury par sa richesse de contenu et son esthétisme. Cette édition était consacrée au thème académique du Printemps de l’Écriture 2025 : « VOYAGE ». Un sujet qui a inspiré les jeunes rédacteurs à explorer des horizons variés, tout en s’ancrant dans les préoccupations et l’actualité de leur génération. Articles, reportages, témoignages : le journal a proposé une vision plurielle du voyage, entre évasion, introspection et ouverture sur le monde. Ce thème fait écho aux aspirations des jeunes d’aujourd’hui, désireux de découvrir d’autres cultures et de donner du sens à leurs parcours. Un concours exigeant et reconnu Chaque année, des dizaines de journaux scolaires imprimés ou en ligne, des podcasts, des webTV ou encore des reportages photo sont présentés au concours Médiatiks, avec le soutien de l’Académie de Strasbourg et du Club de la Presse Strasbourg Europe. Malgré la montée en puissance des médias numériques, la presse écrite scolaire conserve une place de choix auprès des jeunes, comme en témoigne la qualité des projets primés. En 2024, le journal de l’ORT Strasbourg s’était déjà illustré avec un numéro centré sur le thème de l’Intelligence Artificielle (IA). Cette année encore, l’établissement confirme son engagement en faveur de l’éducation aux médias et à l’information. Une aventure collective et pédagogique La réussite de ce projet est le fruit d’un travail collectif impliquant de nombreux acteurs de l’établissement. Les étudiants du DNMADE – Diplôme National des Métiers d’Art et du Design, spécialité Parcours éditorial, ont assuré la conception graphique et la mise en page du journal, sous la direction de leur professeur Philippe Guldner, enseignant en Outils numériques & Professionnalisation. Les documentalistes de l’ORT Strasbourg, Tiphaine Larroque, Élodie Thouvenin et Joëlle Kenizou, ont largement contribué à la coordination et à l’accompagnement des élèves dans la réalisation des contenus. Le Bureau des Élèves (BDE) et le Centre de Documentation et d’Information (CDI) se sont également fortement mobilisés pour faire vivre ce projet fédérateur. Un prix qui valorise l’engagement des jeunes Par l’obtention de ce Prix Coup de cœur Médiatiks 2025, les élèves et étudiants de l’ORT Strasbourg voient leur créativité, leur implication et leur esprit d’équipe récompensés. Ce prix illustre aussi l’importance de développer des compétences en éducation aux médias, essentielles dans un monde où l’information est omniprésente. Le chef d’établissement, Laurent Sellam, a salué le travail de tous les contributeurs, soulignant l’importance de ces projets pour valoriser la parole des jeunes et encourager l’expression sous toutes ses formes. Fondé en 1946, ORT Strasbourg est un établissement du réseau ORT France, accueillant des élèves de la seconde au Bac+3. Situé au cœur de Strasbourg, notre campus propose des formations en initial et en alternance, adaptées aux exigences du marché. Nous mettons l’accent sur un enseignement de qualité, encadré par une équipe pédagogique compétente et attentive, favorisant l’épanouissement et la réussite de chaque étudiant.
Du premier croquis à leur première collection : l’école de mode qui révèle les talents

Ici, on ne rêve pas seulement de mode. On l’apprend, on la dessine, on la découpe, on la coud. À Strasbourg, une école forme les stylistes de demain, de leur premier croquis maladroit jusqu’à leur première vraie collection. Et ce parcours passe par les mains, la rigueur… et beaucoup de passion. Une formation ancrée dans le réel Dès les premières semaines, les étudiants entrent dans le vif du sujet. Pas de théorie en boucle : ici, l’apprentissage passe par la pratique. Et elle est exigeante. On apprend à observer un vêtement, à comprendre sa construction, à décomposer une manche ou une doublure. Puis viennent les premières esquisses : silhouette de face, de profil, détails de col, de couture, d’emmanchure. Tout commence au crayon, sur papier. Ensuite, place aux ciseaux, au tissu, à la règle japonaise. On apprend à tracer un patron à plat, à mesurer précisément, à penser les volumes. Les exercices s’enchaînent : créer une jupe à pinces, transformer un t-shirt de base, reproduire une veste à partir d’un modèle. « C’est très encadré, mais on avance vite », explique Inès, en première année. « On fait des erreurs, puis on recommence. Et au bout d’un moment, on comprend comment un vêtement tient debout. » Croquis, patron, découpe : les bases d’un langage universel Le dessin de mode est un langage à part entière. En cours, on apprend à construire une silhouette stylisée, à faire ressortir les volumes, les matières, les détails. Les profs insistent : un bon croquis n’est pas seulement “joli”. Il doit être lisible, fonctionnel, exploitable par un modéliste. À côté du dessin, il y a le patronage. C’est là que les choses se compliquent. Chaque pièce doit être mesurée, symétrique, prête à être découpée dans le tissu. Les élèves travaillent à la main, mais aussi avec des machines professionnelles. Du geste à la machine : l’apprentissage de la précision Les élèves apprennent d’abord tout à la main : les tracés, les coupes, les coutures de base. Puis ils passent peu à peu aux machines à coudre industrielles. L’école est équipée d’un parc professionnel : surjeteuses, piqueuses plates, machines à boutonnières… On leur apprend en école de mode aussi à entretenir les machines, à comprendre les réglages, à adapter le point au tissu. Ce sont des compétences techniques, mais essentielles. « Le premier jour où tu fais une couture droite sur un tissu fluide, c’est une victoire », raconte Maël, en 2e année. « Il faut sentir le tissu, écouter la machine. Ça devient presque physique. » Créer une collection, c’est tout un processus En troisième année, chaque étudiant doit concevoir une mini-collection cohérente. L’exercice est complet : il faut trouver une inspiration, créer une gamme de couleurs, choisir des matières, concevoir plusieurs silhouettes, produire les vêtements. Le tout est présenté en fin d’année, souvent lors d’un défilé ou d’une exposition. C’est le moment où tout prend sens. Les idées couchées sur le papier prennent forme. Les gestes acquis deviennent fluides. Les élèves se révèlent. Un cadre exigeant, mais formateur Proposée en alternance dès la première année, la formation permet aux étudiants d’appliquer immédiatement ce qu’ils apprennent. Et comme le nombre de places est très limité, chacun bénéficie d’un suivi rapproché. Les deux DN MADE en mode proposés à Strasbourg (Design de mode et Création textile) ouvrent des voies complémentaires dans l’univers de la mode. Mais au-delà du diplôme, c’est une posture qu’on apprend ici : rigueur, curiosité, capacité à traduire une idée en vêtement.
École de mode : entre croquis, couture et révélations

Ils arrivent avec des rêves flous, des envies de créer, parfois même sans savoir coudre. En quelques mois, ils apprennent à dessiner, à patronner, à coudre… et surtout à se révéler. Bienvenue dans les ateliers d’une école de mode pas comme les autres, à Strasbourg. Quand la passion prend forme Eléna a 18 ans. Elle griffonnait des robes dans ses cahiers depuis le collège, sans jamais oser croire qu’elle pourrait en faire un métier. Après un bac STD2A, elle cherche une formation qui lui permette d’allier création, pratique et vraie expérience terrain. Elle tombe sur une école de mode à Strasbourg qui propose un DN MADE en alternance, et décide de tenter. « Ce qui m’a attirée, c’est qu’on n’était pas juste assis en cours. Ici, on crée, on touche les matières, on monte des pièces. On vit la mode. » Dès les premières semaines, elle découvre le vocabulaire technique, les bases du dessin de mode, les contraintes de fabrication. Puis elle passe à l’atelier. Entre deux points de bâti, elle prend confiance. Sa première jupe, même imparfaite, est une fierté. Deux parcours, deux approches du style Dans notre école de mode, les étudiants peuvent choisir entre deux DN MADE (Diplôme National des Métiers d’Art et du Design) en 3 ans, tous deux accessibles après le bac et proposés en alternance à Strasbourg : 1. DN MADE Mode / Création textile C’est la voie de ceux qui aiment les matières, les textures, les motifs. On y apprend à imaginer et concevoir des textiles originaux, à jouer avec les techniques de tissage, d’impression, de broderie, à expérimenter les fibres naturelles ou synthétiques. Parfait pour les profils sensibles à la matière et curieux des procédés techniques. C’est aussi une porte vers le design textile, la décoration ou l’innovation matière. 2. DN MADE Mode / Design de mode Ici, on entre dans le cœur de la conception vestimentaire. De l’idée à la pièce finie : croquis, patronage, modélisme, montage, essayage. On apprend à créer une silhouette cohérente, à construire une collection, à penser style, coupe, volume, identité. C’est la voie royale pour ceux qui veulent devenir styliste, modéliste, ou créateur indépendant. Subtilité à retenir : le premier se concentre sur le textile comme matière à explorer, le second sur le vêtement comme forme à créer. Apprendre en entreprise, dès la première année Ce qui rend cette école unique, c’est son format : les deux DN MADE sont proposés en alternance dès la première année. Un rythme exigeant, mais formateur. Camille, 20 ans, partage son quotidien : « Trois jours en entreprise, deux jours à l’école. Au début, c’est intense. Mais c’est comme ça qu’on comprend le rythme réel d’un atelier. J’ai appris à respecter des délais, à travailler en équipe, à gérer les imprévus. » Les entreprises partenaires sont nombreuses : maisons de couture locales, ateliers indépendants, start-ups textiles, marques émergentes. L’immersion est immédiate. Strasbourg, une ville qui inspire Loin des clichés « seule Paris fait la mode », Strasbourg affirme son style. Ville européenne, culturelle, ouverte aux influences, elle offre un terrain fertile pour créer. Les étudiants s’y sentent bien : proximité, qualité de vie, ouverture artistique. Et les professionnels du secteur saluent cette nouvelle génération qui mêle savoir-faire et modernité. Un encadrement proche, des places limitées L’école mise sur un format à taille humaine. Chaque promotion compte un nombre très limité de places, pour garantir un accompagnement individualisé. Ici, on est suivi, conseillé, challengé. Les enseignants sont tous issus du secteur, les ateliers bien équipés, et l’ambiance propice à l’expérimentation. « Ce n’est pas un cursus anonyme », explique Laura, en 2e année. « On nous pousse à aller au bout de nos idées, à construire notre univers. » Quand l’école devient révélatrice À la fin de la première année, les étudiants présentent leurs créations. Une jupe plissée inspirée des vitraux de la cathédrale, une veste construite à partir de recyclage, une robe transformable pensée pour le quotidien. Les idées prennent forme. Les gestes deviennent plus sûrs. Les regards s’affirment. « J’ai découvert qui j’étais ici », confie Noël, 22 ans. « Je voulais juste apprendre à coudre. Maintenant, je sais que je veux créer ma marque. »
Remise de prix du Jury Médiatiks 2024

Cette année, nos étudiants strasbourgeois ont reçu le prix Coup de cœur du jury Médiatiks 2024 sur le thème de l’IA.
Success-story de nos DNMADE

Le succès de nos étudiantes en DNMADE. Auréa Bloch sélectionnée pour la Fashion Week et Fanny Barro honorée à Matignon.
Exploration Créative au Salon Résonance(s) 2023

Découverte des Métiers d’Art Le lundi 13 novembre, les étudiants de toutes les classes de DNMADE et les élèves en Arts plastiques de Première et de Terminale de l’ORT Strasbourg ont participé à une expédition enrichissante au Salon Résonance(s) 2023, situé au nouveau Parc des Expositions de Strasbourg. Un Salon Emblématique Célébrant sa 11e édition, le Salon Résonance(s) est une vitrine emblématique des métiers d’art. Organisé par la FREEMA, il attire des artisans talentueux de toute la France et de l’Europe, présentant ainsi leurs créations exceptionnelles à un public passionné et professionnel. Un Univers Créatif en Mouvement Au-delà d’être un lieu d’exposition, le salon sert également de plateforme dynamique pour la réflexion, l’échange, et l’émulation. Les étudiants ont en effet pu plonger dans un univers artistique en mouvement, explorant des œuvres uniques, de la sculpture à la bijouterie, du mobilier aux arts graphiques. Immersion dans l’Artisanat d’Exception Guidés par leurs enseignants, les étudiants ont exploré les productions et tendances créatives des professionnels des métiers d’art. Des démonstrations, des ateliers, et des conférences ont enrichi cette immersion dans l’artisanat d’exception. Cette visite au Salon Résonance(s) 2023 a offert aux étudiants une occasion précieuse de nourrir leur créativité et de rester à la pointe des dernières tendances dans le domaine des métiers d’art. La FREEMA a gracieusement accueilli nos élèves et enseignants, renforçant ainsi le lien entre l’ORT Strasbourg et le monde passionnant des métiers d’art. ORT France est un réseau d’écoles présent à Lyon, Marseille, Montreuil, Paris, Strasbourg, Toulouse et Villiers-le-Bel. Elles proposent des formations du collège au bac +5 dans les domaines du digital, de l’énergie, de la mode, du paramédical et du tertiaire. Découvrez l’étendue de nos formations.
Sacrés Rois ! David & Salomon à travers les âges : Une Exploration Artistique à la BNU de Strasbourg

Les étudiants d’ORT Strasbourg ont visité l’exposition Sacrés Rois : David et Salomon à travers les âges à la BNU de Strasbourg.