Peut-on travailler dans les énergies renouvelables sans passer par un bac général ?

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De nombreux lycéens s’interrogent au moment de l’orientation : faut-il absolument suivre un bac général pour accéder aux métiers liés à la transition énergétique ? La voie technologique ou professionnelle est souvent sous-estimée. Pourtant, elle mène à des carrières concrètes et utiles. En effet, le Bac Pro Métiers du Froid et des Énergies Renouvelables (MFER) illustre parfaitement cette alternative. Ainsi, cet article répond à une question très simple : peut-on accéder aux métiers des énergies renouvelables sans passer par la voie générale ? Et surtout, qu’est-ce que cela implique concrètement ? La voie professionnelle : un accès direct aux compétences techniques dans le domaine des énergies renouvelables Le Bac Pro MFER est une formation qui permet de rentrer dans le vif du sujet dès la seconde. Contrairement au bac général qui conserve une dominante théorique, ici tu te formes directement aux réalités techniques des équipements thermiques, frigorifiques et des systèmes énergétiques. Autrement dit, tu passes rapidement de la salle de classe au terrain. Il y a une alternance entre enseignements professionnels et généraux. Ce type de formation ne demande pas d’avoir un niveau scolaire « brillant » en physique ou en maths, mais plutôt une bonne motivation, de la rigueur et un intérêt pour le concret. Par conséquent, tu n’as pas besoin d’attendre un bac+3. Tu peux commencer à intervenir sur une pompe à chaleur ou un système de climatisation énergétiquement performant. Progressivement, tu apprends ces compétences techniques avec un accompagnement adapté. Une semaine type : entre atelier et terrain Ce qui différencie le Bac Pro MFER (RNCP 35846) d’une formation plus classique, c’est le lien permanent avec la réalité des installations énergétiques. En pratique, les semaines s’organisent entre cours techniques (lecture de plans, schémas hydrauliques, électrotechnique). Ensuite, il y a la pratique en atelier (montage, test, maintenance de systèmes) et des périodes de stage en entreprise. Ce rythme te plonge rapidement dans l’univers professionnel. Par conséquent, tu y développes aussi des compétences transversales : gestion de chantier, relation client, travail en équipe. Autant d’atouts pour s’insérer efficacement dans le secteur des énergies renouvelables. De ce fait, l’apprentissage ne se limite pas à la technique pure : il forme des jeunes opérationnels, adaptables et autonomes. Les énergies renouvelables : un secteur en tension qui recrute sans attendre Aujourd’hui, dans le domaine du froid et des énergies renouvelables, les entreprises peinent à recruter. Installateurs de pompes à chaleur, techniciens de maintenance, spécialistes de la régulation thermique sont recherchés dans toute la France. Par conséquent, en choisissant un Bac Pro comme le MFER, tu peux répondre à cette demande immédiatement en sortant du lycée. En effet, les employeurs ne recherchent pas seulement des diplômes : ils veulent des jeunes qui savent intervenir, diagnostiquer, réparer. Le Bac Pro permet cela. Ainsi, il valorise les profils manuels, autonomes, capables de comprendre des schémas et de réagir face à des situations concrètes. Et surtout, il t’ouvre à un secteur qui n’est pas prêt de ralentir, avec l’essor des énergies renouvelables dans le bâtiment et l’industrie. Une formation qui peut évoluer avec toi Contrairement aux idées reçues, le Bac Pro ne t’empêche pas de poursuivre tes études. Bien au contraire : il est tout à fait possible de continuer vers un BTS Fluides-Énergies-Domotique ou un BTS Maintenance des Systèmes. Ces formations supérieures permettent d’accéder à des postes à responsabilités plus élevées. Les postes concernent la conception ou la gestion de projets techniques. Tu peux donc entrer vite sur le marché du travail, tout en gardant une marge de progression. Dès lors, si tu préfères entrer dans la vie active directement, c’est aussi une option viable. Les premiers salaires débutent autour du SMIC, mais peuvent évoluer rapidement avec l’expérience et la polyvalence. Certains techniciens accèdent à des fonctions de chef d’équipe, voire de responsable technique. Choisir un lycée professionnel qui accompagne vers les énergies renouvelables Ce qui compte aussi, c’est le cadre dans lequel tu fais ta formation. ORT France, par exemple, propose le Bac Pro MFER avec un suivi adapté, en initial ou en alternance. En particulier, l’alternance est particulièrement intéressante pour gagner en expérience tout en étant rémunéré. Par ailleurs, les équipes pédagogiques sont souvent issues du monde professionnel, et les ateliers sont équipés pour simuler des situations réelles. Cela fait toute la différence quand on veut apprendre en faisant, pas seulement en écoutant. De plus, les stages ou les missions en entreprise permettent aussi de confirmer son projet et de découvrir des spécialisations. Conclusion Non, il n’est pas nécessaire de passer par un bac général pour travailler dans les énergies renouvelables. Le Bac Pro MFER est une porte d’entrée concrète, technique et valorisante vers un secteur qui a besoin de bras, de têtes et d’engagement. Ainsi, il permet de s’orienter autrement, sans renoncer à l’ambition. Pour les jeunes qui aiment comprendre comment fonctionnent les choses, qui veulent apprendre en agissant, c’est une voie d’avenir solide et motivante. L’École de Travail ORT Paris est un établissement du réseau ORT France, dédié à la formation professionnelle et continue. Il offre des formations en Bac Pro, CAP et jusqu’au Bac+3. Située dans le 4e arrondissement de Paris, notre école propose des formations spécialisées dans les métiers du bâtiment, de l’énergie et de la maintenance. Nous offrons des parcours en alternance, permettant aux apprenants de développer des compétences techniques tout en acquérant une expérience professionnelle significative. 

À 17 ans, il installe des systèmes domotiques : immersion en Bac Pro MELEC

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À 17 ans, Lucas ne se contente pas d’allumer une lampe. Il programme l’éclairage d’une maison entière, configure des capteurs de présence et teste des dispositifs de sécurité connectés. Il est élève en Bac Pro MELEC à l’École de Travail ORT de Paris, une formation technique qui attire de plus en plus de jeunes passionnés par l’électricité, l’automatisation et les objets connectés. Le Bac Pro MELEC, une formation pour ceux qui aiment le concret Le Bac Pro MELEC – Métiers de l’Électricité et de ses Environnements Connectés – s’adresse aux élèves attirés par les systèmes électriques modernes. Très vite, ils passent de la théorie à la pratique : ils câblent des armoires électriques, installent des tableaux, programment des scénarios domotiques… Ainsi, ils acquièrent une vraie maîtrise terrain. « Ce que j’aime, c’est qu’on travaille avec les mains. On apprend comment les bâtiments fonctionnent, on monte de vrais circuits. Et on voit tout de suite si ça marche ou pas », explique Lucas, en classe de terminale. Comprendre l’électricité, mais surtout l’exploiter Les cours abordent les grands principes de l’électricité, mais vont bien plus loin. En effet, les élèves apprennent à intervenir dans des logements, des commerces, des industries, ou encore des établissements recevant du public. Ils installent, maintiennent, sécurisent et optimisent les réseaux électriques, mais aussi les réseaux de communication et de contrôle à distance. C’est là que les environnements connectés entrent en jeu. Caméras, alarmes, volets automatiques, thermostats pilotables par smartphone… autant de dispositifs que les élèves apprennent à paramétrer. « On installe des objets du quotidien, mais on les comprend en profondeur », ajoute Lucas. Des projets concrets et motivants en Bac Pro MELEC Chaque année, les élèves réalisent des projets réels. Par exemple, ils conçoivent l’installation électrique complète d’un appartement témoin. Cela inclut le plan d’éclairage, les prises, les circuits spécialisés, mais aussi les équipements connectés. « On doit tout prévoir : la consommation, la sécurité, l’ergonomie. Ce n’est pas juste du bricolage, c’est un vrai travail d’électricien », souligne leur enseignant. Ces mises en situation permettent aux élèves de se projeter dans les métiers de demain : électricien domoticien, technicien en automatismes, installateur en smart building… Une alternance pour gagner en confiance Le Bac Pro MELEC fonctionne en alternance. Chaque semaine, les élèves passent du temps en entreprise. Cela leur permet d’apprendre sur le terrain, de découvrir les vrais chantiers et de gagner en autonomie. « J’ai travaillé sur un chantier dans un lycée. On changeait toute l’installation. Au début, j’étais impressionné, mais les pros m’ont vite mis en confiance. J’ai compris que je pouvais vraiment être utile », raconte Lucas. Grâce à l’alternance, les élèves tissent aussi un premier réseau professionnel. Et souvent, ils trouvent leur premier emploi avant même d’avoir leur diplôme. Ainsi, ils abordent l’avenir avec plus de sérénité. Une formation qui ouvre des portes Contrairement aux idées reçues, le Bac Pro MELEC ne mène pas dans une impasse. Bien au contraire, il prépare à des métiers très recherchés. Le secteur de l’électricité recrute massivement, notamment dans la maintenance, l’habitat connecté, les énergies renouvelables ou l’industrie 4.0. Après l’obtention du bac, les élèves peuvent entrer directement dans la vie active. Toutefois, beaucoup choisissent de poursuivre en BTS Électrotechnique, BTS Domotique, ou même en licence professionnelle. Par conséquent, les perspectives restent nombreuses. Un métier au service des autres Ce que Lucas préfère, ce n’est pas seulement de manier les câbles ou les tableaux. C’est de voir le résultat concret de son travail. « Quand tu fais une installation propre, que tout fonctionne, et que le client est content, t’as une vraie fierté. Tu te dis que t’as fait un truc utile. » Dans un monde de plus en plus connecté, ces compétences deviennent précieuses. Sécurité, confort, efficacité énergétique… Le technicien MELEC agit sur des éléments essentiels du quotidien. Ainsi, il contribue à améliorer concrètement la vie des autres. Une pédagogie active en Bac Pro MELEC à Paris L’École de Travail ORT de Paris a pensé la formation pour stimuler l’envie d’apprendre. Les enseignants viennent du milieu professionnel, les ateliers sont bien équipés, et les élèves affrontent régulièrement des situations pratiques. « On les met en posture de technicien dès la première année. Ils prennent confiance, ils se sentent capables. Et souvent, ça les transforme complètement », témoigne un professeur. L’accompagnement reste individualisé, notamment pour ceux qui arrivent avec des lacunes. Le but : que chacun progresse à son rythme et développe un vrai savoir-faire. Ainsi, la réussite devient accessible à tous. Dans le sud, Toulouse mise aussi sur l’électricité intelligente Bonne nouvelle : cette formation est également proposée à l’ORT de Toulouse. Dans un environnement tout aussi professionnel et dynamique, les élèves y retrouvent le même programme, la même exigence technique et la même possibilité d’alternance. Une opportunité pour les jeunes du sud-ouest de se former aux métiers de l’électricité connectée, dans une ville en plein essor industriel. Le Bac Pro MELEC : une voie valorisante, même pour les profils en difficulté Beaucoup d’élèves qui choisissent le Bac Pro MELEC n’étaient pas à l’aise dans les parcours généraux. Pourtant, dès qu’ils manipulent le concret, ils révèlent leur potentiel. Lucas ne cache pas qu’il a connu des difficultés au collège. Mais aujourd’hui, il s’épanouit. « Avant, je pensais que je n’étais pas fait pour les études. Maintenant, je me dis que j’ai trouvé ma voie. » Ce parcours prouve qu’il est possible de réussir autrement, avec des compétences techniques, de la rigueur et une vraie motivation. Ainsi, le Bac Pro MELEC agit comme un tremplin vers l’insertion et l’épanouissement. ORT : un réseau tourné vers l’avenir Situées à Paris et à Toulouse, les établissement ORT font partie du réseau ORT France. Elles accompagnent les jeunes de la 3e au Bac+5 avec des formations adaptées au monde professionnel. Le Bac Pro MELEC (RNCP 38878) incarne cette dynamique : proposer une formation ancrée dans la réalité, qui donne des débouchés et redonne confiance. À 17 ans, Lucas installe déjà les systèmes électriques que d’autres utiliseront demain. Et ce n’est que le début. ORT France est un réseau d’écoles présent à

Derrière les machines, des vocations : plongée dans le BTS MS SEF

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Ils aiment les moteurs, les fluides et les systèmes complexes. Et surtout, ils veulent comprendre comment tout cela fonctionne. Bienvenue dans l’univers méconnu mais passionnant du BTS Maintenance des Systèmes, option Systèmes Énergétiques et Fluidiques (SEF), proposé à l’École de Travail ORT à Paris. Le BTS MS SEF : une formation qui attire les curieux de technique Dans les ateliers de l’École de Travail ORT, les bruits des machines se mêlent aux échanges entre élèves et formateurs. Ici, pas de cours magistraux interminables. On apprend en manipulant, en expérimentant, en réparant. « Ce qui m’a plu, c’est le concret, » confie Julien, 19 ans, en deuxième année. « On voit tout de suite l’effet de ce qu’on fait. C’est hyper gratifiant. » Le BTS MS SEF s’adresse à celles et ceux qui veulent allier connaissances techniques et capacités d’analyse. Ainsi, les profils variés y trouvent leur place : passionnés de technologie, amateurs de challenge, futurs techniciens de maintenance dans l’industrie, l’énergie ou le tertiaire. Entre théorie et pratique, une formation complète en BTS MS SEF À l’École de Travail ORT, la formation se fait en alternance, un vrai plus selon les étudiants. « On applique directement ce qu’on apprend en cours. Et en entreprise, on prend confiance, » explique Amina, qui effectue son contrat chez un gestionnaire de réseaux thermiques. Les enseignements couvrent plusieurs blocs de compétences : maintenance corrective, préventive, améliorative, mais aussi intégration d’un bien ou organisation de la maintenance. Ainsi, l’objectif est de former des techniciens capables d’intervenir sur tout type de système thermique, hydraulique ou pneumatique. Par ailleurs, des cours généraux complètent le programme : maths, anglais, communication. Mais toujours avec un objectif professionnel. L’énergie et les fluides, au cœur des enjeux de demain Avec la transition énergétique, les besoins en compétences dans le domaine sont en forte croissance. C’est pourquoi le BTS MS SEF prépare les jeunes à y répondre. Pompes à chaleur, réseaux de chauffage urbain, systèmes de climatisation intelligents… autant d’équipements que les techniciens SEF sont amenés à installer, entretenir ou optimiser. « Les réglages sont de plus en plus fins. Il faut savoir interpréter les données, comprendre les systèmes complexes, » souligne M. Lopez, formateur à l’École de Travail ORT. « Mais c’est aussi ce qui rend le métier passionnant. » Une journée dans la peau d’un étudiant en BTS MS SEF Ce matin, les élèves de deuxième année doivent diagnostiquer une panne sur une centrale de traitement d’air. Analyse des symptômes, vérification des composants, test des capteurs… « C’est comme une enquête, » sourit Léo. « On cherche l’origine du problème, on teste des hypothèses, et quand ça remarche, c’est super satisfaisant. » L’après-midi sera consacré à un cours de gestion de maintenance : comment planifier les interventions, suivre les indicateurs, optimiser les ressources. Ainsi, les étudiants acquièrent des compétences clés pour ceux qui viseront des postes de responsables techniques. Portrait : Sacha, 21 ans, passionné de terrain Avant d’intégrer le BTS MS SEF, Sacha s’était orienté vers un bac professionnel en électrotechnique. « Je voulais un métier concret, mais je ne savais pas encore lequel. Le BTS m’a ouvert les yeux. » Aujourd’hui en deuxième année à l’École de Travail ORT, il alterne entre les cours et un contrat en entreprise dans le secteur hospitalier. « Je travaille sur la maintenance des systèmes de ventilation et de production d’eau chaude. C’est technique, mais on se sent utile. » Désormais, Sacha envisage la suite : une licence pro dans l’efficacité énergétique. « Mais je sais que même sans ça, je peux travailler dès maintenant. Le BTS nous rend opérationnels.«  Un cadre exigeant, bienveillant et professionnalisant Implantée à Paris, l’École de Travail ORT offre un environnement de formation reconnu pour son accompagnement personnalisé et son exigence pédagogique. Le BTS MS SEF y bénéficie d’un encadrement expert, de plateaux techniques performants et de liens solides avec les entreprises du secteur. De nombreux anciens y reviennent d’ailleurs témoigner ou recruter. Des débouchés solides, des parcours évolutifs après le BTS MS SEF À l’issue du BTS MS SEF (RNCP 36968), les possibilités sont nombreuses. En effet, certains intègrent directement le marché du travail : technicien de maintenance, conducteur de travaux, agent de maîtrise… Les recruteurs apprécient la polyvalence des diplômés du BTS MS SEF. En effet, ils peuvent intervenir sur des équipements variés : chaudières, groupes froids, pompes hydrauliques, etc. Leur capacité d’analyse et leur autonomie sont des atouts dans des secteurs en tension. D’autres poursuivent en licence professionnelle, en école d’ingénieur ou en filière spécialisée énergie/environnement. De plus, certains intègrent des postes avec encadrement après quelques années d’expérience. Par conséquent, ce BTS constitue un tremplin idéal pour des jeunes en quête de responsabilités. « J’ai décroché un CDI avant même la fin de ma deuxième année, » raconte Farid, diplômé en 2023. « L’alternance, ça ouvre des portes. Et le BTS MS SEF est une vraie rampe de lancement.«  Des vocations qui naissent au contact du réel Ce qui marque, dans les couloirs de l’École de Travail ORT, c’est la fierté des élèves. Fierté de réparer, de comprendre, d’être utiles. Fierté aussi de préparer un métier ancré dans les réalités de demain. « Au début, je ne savais pas trop quoi faire. Mais ici, j’ai trouvé ma voie, » résume Etienne, 20 ans. « On travaille dur, mais on sent qu’on construit quelque chose. » Ainsi, derrière les machines, il y a des histoires. Et parfois, de vraies révélations. En définitive, le BTS MS SEF est un parcours qui transforme. L’École de Travail ORT Paris est un établissement du réseau ORT France, dédié à la formation professionnelle et continue, en Bac Pro, CAP et jusqu’au Bac+3. Située dans le 4e arrondissement de Paris, notre école propose des formations spécialisées dans les métiers du bâtiment, de l’énergie et de la maintenance. Nous offrons des parcours en alternance, permettant aux apprenants de développer des compétences techniques tout en acquérant une expérience professionnelle significative. 

« Il pensait juste réparer des machines… »

Il pensait juste réparer des machines, il a fini par construire des ponts au bout du monde - Portrait de Maxime - ORT France

Maxime avait 20 ans quand il a obtenu son BTS Maintenance des Systèmes – option Systèmes Énergétiques et Fluidiques. À l’époque, il pensait simplement pouvoir travailler sur des chaudières, pompes et systèmes thermiques. Il ne se doutait pas qu’un jour, il construirait un pont dans une zone rurale d’Afrique. Après son diplôme, il commence comme technicien de maintenance pour une PME spécialisée en énergies renouvelables. Il intervient sur des installations solaires, moteurs hydrauliques, systèmes de pompage d’eau… Très vite, il se passionne pour l’aspect « aller vers les besoins essentiels » : fournir de l’eau, de l’énergie dans des zones isolées. Le déclic humanitaire Deux années plus tard, une ONG le sollicite : « Vous voulez venir installer un système solaire + pompe dans un village au Niger ?» Le défi l’attire. Il accepte. Sur place, il découvre un village enclavé, sans réseau électrique ni eau potable fiable. Il installe une pompe à eau solaire pour alimenter le puits, puis met en place un mini-réseau électrique pour l’école. Mais c’est là qu’arrive le véritable tournant. Une passerelle piétonne sur une rivière saisonnière s’est effondrée. Les enfants n’avaient plus de chemin pour aller à l’école. Maxime, avec ses compétences en mécanique, hydraulique et résistance des matériaux, se lance dans un projet fou : « Je vais essayer de reconstruire une passerelle provisoire. » Avec les habitants, il conçoit une structure légère mais solide. En quelques semaines, la rivière est de nouveau franchissable. Le pont devient un symbole. Une carrière tournée vers l’impact De retour en France, Maxime n’est plus le même. Il rejoint une ONG spécialisée dans les infrastructures rurales. En 2025, soit six ans après son BTS Maintenance des Systèmes, il : Il le dit souvent : « Quand le pont que j’ai aidé à construire résiste aux pluies, je sais que j’ai fait du bon travail. Pas pour moi, pour eux. » Ce que le BTS lui a vraiment appris Son BTS MS SEF lui a apporté bien plus que des compétences techniques. Il a appris à : Mais surtout, il a découvert que la technique pouvait être mise au service de l’humain. Ce BTS est inscrit au RNCP sous le numéro 36968. Un message aux futurs étudiants Maxime aime conclure par ces mots : « Quand vous apprenez à entretenir une pompe ou une installation solaire, pensez à ce que cela peut changer pour d’autres. Avec ce BTS, vous pouvez faire bien plus que de la maintenance : vous pouvez changer des vies. » Aujourd’hui, son parcours inspire. Et peut-être, demain, ce sera le tien.

Pourquoi on aura toujours besoin d’électriciens (et comment s’y former à Paris)

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L’électricité est partout. Elle éclaire nos maisons, fait tourner nos ordinateurs, alimente nos transports et sécurise nos villes. Sans électriciens, rien ne fonctionnerait. Leur métier est de garantir que les installations marchent et que les réseaux restent sûrs.Ainsi, derrière chaque geste du quotidien, on retrouve le travail précis et discret de ces professionnels. Ce rôle, vital aujourd’hui, le sera encore davantage demain. C’est pourquoi on peut affirmer qu’on aura toujours besoin d’électriciens. Un métier vital dans le quotidien de chacun L’électricité n’est pas un luxe, c’est une nécessité. Sans elle, plus de chauffage, plus de lumière, plus de connexion. Dans les faits, les électriciens assurent la continuité d’un système dont dépend la société. Que ce soit dans un appartement, une usine ou un hôpital, leur intervention reste indispensable.De plus, le métier s’exerce partout. En ville comme en campagne, dans de petites entreprises artisanales ou dans de grandes sociétés, les compétences d’un électricien trouvent toujours leur utilité. À ce titre, choisir ce métier, c’est se donner une place dans une profession durable.En résumé, ce rôle de proximité explique pourquoi la demande reste forte. Un besoin renforcé par les évolutions technologiques On pourrait croire que les métiers manuels disparaissent avec les nouvelles technologies. Pourtant, c’est l’inverse. La société se digitalise et, de ce fait, les électriciens sont encore plus sollicités.Par exemple, les maisons intelligentes nécessitent des installations adaptées. La domotique demande des compétences nouvelles. Les bornes de recharge pour voitures électriques se multiplient. Ainsi, chaque innovation crée de nouveaux besoins.En parallèle, la transition énergétique accentue ce phénomène. Les panneaux solaires, la gestion de l’énergie et la recherche d’efficacité exigent une expertise pratique. En conséquence, le métier d’électricien ne se réduit pas, il s’élargit.D’ailleurs, plus la technologie progresse, plus les interventions deviennent variées et passionnantes. Un métier qui ne peut pas être remplacé Beaucoup de professions sont menacées par l’automatisation. Cependant, ce n’est pas le cas de l’électricité. Une installation demande encore des gestes humains, précis et adaptés à chaque situation.Il est évident qu’un robot ne peut pas décider comment sécuriser un chantier complexe. Une machine ne remplace pas le jugement d’un professionnel. Pour cette raison, l’électricien combine savoir-faire manuel et responsabilité.Dès lors, ce métier garde une dimension humaine qui le rend irremplaçable. Comment se former à Paris : le CAP Électricien à l’ORT Face à ces besoins, se former devient essentiel. À l’École de Travail ORT Paris, au cœur du Marais, le CAP Électricien est la porte d’entrée idéale.Concrètement, il s’agit d’une formation courte et pratique. En deux ans, les élèves apprennent à installer des circuits, à lire des plans, à câbler et à respecter les règles de sécurité. Les ateliers permettent de pratiquer directement sur du matériel identique à celui utilisé en entreprise.De plus, les enseignants sont des professionnels expérimentés. Ils accompagnent les élèves pas à pas, en tenant compte de leur rythme. L’école propose aussi des stages en entreprise, véritables tremplins vers l’emploi.Ainsi, l’ORT Paris allie tradition et modernité. Avec plus d’un siècle d’expérience, l’établissement forme des générations de jeunes qui trouvent rapidement leur place.Au final, cette combinaison de théorie, pratique et accompagnement fait du CAP Électricien une formation solide. Une semaine type au CAP Électricien Pour bien comprendre la formation, imaginons une semaine type. Les élèves alternent entre des matières générales (français, mathématiques, sciences) et des cours professionnels. Dans les ateliers, ils mettent immédiatement en pratique ce qu’ils apprennent.Les élèves manipulent des câbles, montent des circuits et interviennent sur des installations réelles. De plus, les stages en entreprise renforcent cette expérience. Grâce à cette immersion, ils découvrent le quotidien du métier.Au final, cette alternance entre école et terrain rend la formation concrète, vivante et efficace. Autrement dit, chaque semaine en CAP Électricien construit à la fois des savoirs et des gestes. Que faire après le CAP Électricien ? Le CAP Électricien n’est pas une fin en soi. Bien au contraire, il ouvre plusieurs chemins.D’une part, certains élèves choisissent d’entrer directement sur le marché du travail. Ils travaillent comme installateurs, mainteneurs ou techniciens. D’autre part, d’autres se lancent comme artisans indépendants, avec la possibilité de créer leur clientèle. Cependant, il est aussi possible de poursuivre ses études. Après le CAP (RNCP 38401), de nombreux élèves intègrent un Bac Pro Métiers de l’électricité et de ses environnements connectés. Ensuite, ils peuvent continuer en BTS Électrotechnique ou en BTS FED.Ainsi, le CAP Électricien est à la fois une porte vers l’emploi direct et un tremplin vers des études plus longues. D’ailleurs, cette flexibilité explique pourquoi ce diplôme garde toute sa valeur. Un métier d’avenir, au service de la transition écologique Aujourd’hui, le rôle de l’électricien dépasse le simple câblage. En effet, il participe à la construction d’un futur plus durable.Installer des panneaux solaires, mettre en place des systèmes intelligents de gestion de l’énergie ou poser des bornes de recharge : autant de missions qui soutiennent la transition écologique.Par conséquent, l’électricien devient un acteur clé de la société de demain. En somme, se former à ce métier, c’est choisir de jouer un rôle utile et responsable. Un métier concret et gratifiant De nombreux élèves apprécient la satisfaction immédiate que procure ce métier. Voir une lumière s’allumer après une installation, réparer une panne et redonner du confort, ce sont des récompenses concrètes.Par ailleurs, cette voie développe l’autonomie et la confiance en soi. Chaque geste compte et chaque mission réussie renforce la fierté du professionnel.Au final, peu de professions offrent un impact aussi direct et visible. Conclusion Pour finir, l’électricité est au cœur de nos vies, et rien ne laisse penser que cela changera. En réalité, on aura toujours besoin d’électriciens. Leur rôle ne peut pas être remplacé, et il gagne encore en importance avec la transition écologique et les nouvelles technologies. L’École de Travail ORT Paris est un établissement du réseau ORT France, dédié à la formation professionnelle et continue, en Bac Pro, CAP et jusqu’au Bac+3. Située dans le 4e arrondissement de Paris, notre école propose des formations spécialisées dans les métiers du bâtiment, de l’énergie et de la maintenance. Nous offrons

Sous tension positive : pourquoi le CAP Électricien prépare un futur solide

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L’électricité est partout. Allumer une lampe, brancher un ordinateur, recharger un téléphone ou prendre le métro : chacun de ces gestes dépend de réseaux invisibles mais indispensables. Sans eux, nos vies modernes seraient tout simplement impossibles. Pourtant, derrière chaque interrupteur, chaque prise ou chaque tableau électrique, il y a le savoir-faire d’un électricien. Son rôle peut sembler discret, mais il est essentiel. Il installe, entretient et sécurise les équipements dont nous avons besoin au quotidien. Ainsi, à l’heure où la transition énergétique et les technologies connectées transforment nos habitudes, ce métier prend encore plus d’importance. L’électricité ne s’arrête jamais : elle accompagne tous les changements de société. C’est pourquoi le CAP Électricien reste une formation qui ouvre vers un avenir solide. Pourquoi le métier d’électricien reste incontournable On pourrait penser que l’automatisation ou la robotisation rendent les métiers manuels moins nécessaires. C’est pourtant l’inverse. Plus nos vies se digitalisent, plus les électriciens sont indispensables. En effet, les bâtiments intelligents, les objets connectés, les systèmes de sécurité et les énergies renouvelables créent de nouveaux besoins. Pendant la pandémie, beaucoup d’activités se sont arrêtées. Cependant, les électriciens ont continué à travailler. Ils assuraient la lumière, le chauffage, la connexion internet. Ce métier est lié directement à la sécurité et au confort des habitants. Dès lors, on comprend qu’il s’agit d’un métier qui ne s’arrête jamais, quelles que soient les circonstances. Par conséquent, l’électricité est devenue un langage universel. Que ce soit dans un appartement parisien, une usine en région ou une station de recharge pour voitures électriques, les compétences d’un électricien trouvent toujours leur place. En d’autres termes, il s’agit d’un métier universel et durable. De plus, il s’agit d’une profession qui se transmet de génération en génération, preuve de sa stabilité. Le CAP Électricien, une formation qui va droit à l’essentiel Le CAP Électricien à l’ORT Paris est une formation courte et concrète. En deux ans, les élèves apprennent à réaliser des installations, à lire et comprendre des plans, à câbler correctement et à intervenir en respectant des règles strictes de sécurité. La formation met l’accent sur la pratique. Les élèves passent beaucoup de temps en atelier, sur du matériel identique à celui qu’ils retrouveront en entreprise. Ils apprennent par le geste, fil après fil, ce qui donne de la confiance et une vraie maîtrise technique. De plus, cette formation va au-delà de l’aspect technique. Elle développe aussi des qualités personnelles. Être électricien, c’est apprendre à être rigoureux, précis et méthodique. On apprend à vérifier, à anticiper et à résoudre des problèmes concrets. Ainsi, ces qualités deviennent des atouts qui servent tout au long de la vie professionnelle. En réalité, ce diplôme construit une personnalité aussi bien qu’un savoir-faire. Par ailleurs, il renforce aussi l’estime de soi en donnant des responsabilités concrètes dès le plus jeune âge. En définitive, suivre ce CAP, c’est donc acquérir un métier et grandir personnellement. L’ORT Paris : un cadre unique pour apprendre en CAP Électricien Située en plein cœur du Marais à Paris, l’École de Travail ORT Paris propose une expérience singulière. Étudier un métier manuel dans un quartier chargé d’histoire crée un contraste fort entre tradition et modernité. L’école est équipée d’ateliers spécialisés qui permettent de s’exercer dans de vraies conditions. L’encadrement joue un rôle clé. Les enseignants sont des professionnels expérimentés et passionnés, capables de transmettre leur savoir-faire avec pédagogie. Chaque élève bénéficie d’un accompagnement personnalisé, pour progresser à son rythme et surmonter ses difficultés. En outre, un autre atout de la formation est la place donnée aux stages en entreprise. Ils permettent aux élèves de découvrir le terrain, de comprendre les attentes des employeurs et de commencer à se constituer un réseau. D’ailleurs, cette immersion prépare directement l’insertion professionnelle. Ainsi, la formation combine cours théoriques, ateliers pratiques et expériences réelles, ce qui en fait un parcours complet. En somme, chaque élève sort avec une expérience solide et valorisée. Une semaine type en CAP Électricien Pour mieux comprendre la formation, il suffit d’imaginer une semaine type. Les élèves alternent entre des cours généraux (mathématiques, français, sciences) et des cours professionnels. Dans les ateliers, ils apprennent à manipuler des câbles, à installer des circuits ou à dépanner des équipements. Ils travaillent parfois en binômes pour simuler les conditions réelles d’un chantier. Enfin, les périodes de stage donnent un aperçu concret du métier. En entreprise, les élèves découvrent le rythme d’une équipe, la gestion de projets et le contact avec les clients. Ainsi, cette alternance entre école et terrain rend la formation particulièrement complète. En réalité, ces allers-retours entre théorie et pratique construisent un vrai savoir-faire. Des débouchés multiples et rapides Le CAP Électricien (RNCP 38401) est reconnu sur le marché du travail. Beaucoup de diplômés choisissent de travailler directement après le diplôme. Ils rejoignent des entreprises du bâtiment, de la maintenance ou de l’industrie. Certains créent même leur activité en tant qu’artisan indépendant. Cependant, le CAP peut aussi servir de tremplin. Les élèves motivés poursuivent en Bac Pro Métiers de l’électricité et de ses environnements connectés. Ensuite, ils peuvent accéder à des diplômes de niveau Bac+2, comme le BTS Électrotechnique ou le BTS FED. Ainsi, le diplôme offre à la fois une entrée rapide dans la vie active et la possibilité de construire un parcours complet. Par ailleurs, il rassure aussi les familles en offrant une réelle sécurité professionnelle. En conclusion, il représente donc un choix sûr et stratégique. Un métier tourné vers la transition écologique Aujourd’hui, le métier d’électricien est lié à la transition écologique. Les entreprises recherchent des profils capables d’installer des panneaux solaires, de mettre en place des systèmes de gestion d’énergie ou de poser des bornes de recharge pour voitures électriques. Les compétences évoluent avec les besoins, et le CAP prépare à cette adaptation constante. En effet, l’électricien devient un acteur clé de la société de demain. Il contribue à réduire la consommation d’énergie, à sécuriser les installations et à accompagner les changements liés aux énergies renouvelables. Ainsi, se former à ce métier, c’est aussi participer à la construction

Bac Pro MELEC : entre énergies renouvelables et nouveaux métiers de l’électricité

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Le monde de l’électricité change vite. Les bâtiments deviennent intelligents, les énergies vertes progressent et les voitures électriques se développent. Ainsi, les entreprises recherchent des jeunes capables de travailler sur des installations modernes, connectées et sûres. Le Bac Pro Métiers de l’électricité et de ses environnements connectés (MELEC) s’inscrit pleinement dans cette évolution. En effet, il prépare à la fois aux métiers classiques de l’électricité et aux nouveaux besoins liés à la transition énergétique. Qu’est-ce que le Bac Pro MELEC ? Ce bac professionnel forme des techniciens qui savent installer, entretenir et réparer des équipements électriques. Pourtant, il ne se limite plus aux câbles ou aux prises. En effet, la formation intègre désormais les systèmes automatisés et connectés. Grâce à cela, un élève peut travailler dans une maison, un bureau ou une usine. Contrairement à un CAP Électricien, davantage centré sur les bases, le Bac Pro MELEC offre une approche plus large. Ainsi, les diplômés gèrent des projets complets, de la préparation à la mise en service. Ils sont donc mieux préparés pour suivre les changements rapides du secteur et répondre à des besoins variés. Les compétences acquises pendant la formation Pendant trois ans, l’élève apprend à sécuriser une installation et à lire des schémas simples. Il comprend aussi comment poser des équipements et vérifier leur bon fonctionnement. De plus, la formation inclut désormais les outils numériques et les solutions connectées. Ainsi, un diplômé peut programmer un système domotique, brancher un panneau solaire ou mettre en service une borne de recharge. Ces savoir-faire sont directement liés aux besoins actuels des entreprises. Par ailleurs, ils ouvrent des perspectives nouvelles dans des domaines en pleine croissance. La formation développe aussi le savoir-être. En effet, les jeunes doivent être autonomes, sérieux et capables de dialoguer avec un client. Ces qualités sont essentielles pour évoluer dans le métier et gagner la confiance des employeurs. Formation initiale ou alternance : deux voies possibles À l’ORT, le Bac Pro MELEC existe en version initiale et en alternance. La voie initiale, proposée à Toulouse, permet d’apprendre pas à pas dans un cadre scolaire. L’élève consolide ses acquis et découvre le métier grâce aux stages. En alternance, à Paris et à Toulouse, l’élève partage son temps entre l’école et l’entreprise. Ainsi, il met en pratique ses cours et gagne de l’expérience concrète. De plus, ce format conduit souvent à une embauche rapide, car l’entreprise connaît déjà son futur salarié. Quels métiers après un Bac Pro MELEC ? À la sortie, un diplômé peut devenir électricien ou technicien. Cependant, les débouchés vont aujourd’hui beaucoup plus loin. La domotique, les énergies vertes et les réseaux connectés offrent de nouvelles pistes professionnelles. Par exemple, certains installent des systèmes de gestion d’énergie dans les bâtiments. D’autres posent et entretiennent des bornes pour voitures électriques. Enfin, certains choisissent le solaire et travaillent sur des panneaux photovoltaïques. Ainsi, chaque parcours peut être adapté aux envies et aux projets de l’élève. Débouchés, salaires et évolution Un jeune diplômé commence souvent avec un salaire proche du SMIC. Pourtant, les évolutions sont rapides pour ceux qui se spécialisent. En effet, en travaillant dans la domotique ou les énergies vertes, il est possible de gagner davantage. Avec l’expérience, un technicien peut devenir chef d’équipe ou responsable de chantier. Certains choisissent aussi de créer leur propre activité. C’est pourquoi le Bac Pro MELEC constitue une vraie porte d’entrée vers des carrières variées et évolutives. Poursuites d’études après le Bac Pro MELEC Beaucoup d’élèves entrent directement dans la vie active. Cependant, ce bac permet aussi de continuer les études. Les poursuites les plus courantes sont le BTS Électrotechnique ou le BTS Systèmes numériques. Grâce à ces diplômes, les jeunes renforcent leurs savoir-faire et accèdent à des postes avec plus de responsabilités. De plus, il existe des formations liées aux énergies renouvelables. Elles permettent de se spécialiser dans un domaine en plein développement. Par ailleurs, elles augmentent les chances de trouver un emploi stable et qualifié. Pourquoi choisir l’ORT pour préparer le Bac Pro MELEC ? Choisir l’ORT, c’est profiter d’une pédagogie tournée vers la pratique. Les élèves utilisent du matériel moderne et travaillent sur des projets réels. En outre, le diplôme est reconnu officiellement (RNCP 38878), ce qui rassure les familles et facilite l’insertion professionnelle. L’ORT s’appuie aussi sur des liens solides avec les entreprises locales. Grâce à ces partenariats, les élèves trouvent plus facilement des stages et des contrats en alternance. Ainsi, ils gagnent de l’expérience et se préparent efficacement au marché du travail. ORT Paris – École de Travail À Paris, le Bac Pro MELEC est proposé en alternance. Grâce au dynamisme économique de la région, les élèves trouvent rapidement une entreprise. Ils découvrent des secteurs variés et participent directement aux grands défis liés à l’énergie. ORT Toulouse À Toulouse, l’élève peut suivre la formation en voie initiale ou en alternance. La ville, marquée par l’industrie et le bâtiment, offre un cadre idéal pour développer ses compétences. De plus, les liens avec les acteurs locaux renforcent l’insertion après le diplôme. Modalités d’inscription L’entrée au Bac Pro MELEC se fait après la troisième. Le recrutement repose sur un dossier et parfois un entretien. Pour les élèves en alternance, l’ORT propose un accompagnement personnalisé. Ainsi, chacun bénéficie d’un soutien pour trouver une entreprise et sécuriser son parcours. Conclusion Le Bac Pro MELEC n’est pas un simple diplôme d’électricien. Il ouvre vers des métiers en pleine évolution, où l’électricité se mêle au numérique et aux énergies vertes. Pour un jeune qui aime la technique et souhaite jouer un rôle dans la transition énergétique, cette formation représente une voie solide et tournée vers l’avenir. ORT France est un réseau d’écoles présent à Lyon, Marseille, Montreuil, Paris, Strasbourg, Toulouse et Villiers-le-Bel. Elles proposent des formations du collège au bac +5 dans les domaines du digital, de l’énergie, de la mode, du paramédical et du tertiaire. Découvrez l’étendue de nos formations. 

Du chantier à la maintenance : à quoi ressemble vraiment le quotidien d’un monteur sanitaire ?

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Le métier de monteur en installations sanitaires intrigue souvent les élèves qui envisagent un CAP dans le domaine du bâtiment. On associe ce métier à la plomberie, mais son quotidien est bien plus varié. Entre le travail sur chantier et les interventions de maintenance, la réalité est multiple et demande des compétences techniques, mais aussi humaines. Alors, à quoi ressemble vraiment une journée type quand on choisit ce CAP ? Monteur sanitaire, un métier au cœur des besoins essentiels L’eau est un élément vital, et les installations sanitaires se trouvent partout : dans les maisons, les immeubles, les écoles, les hôpitaux. Le rôle du monteur sanitaire est donc essentiel. Il intervient pour installer, entretenir et réparer des systèmes qui assurent notre confort quotidien : arrivées d’eau, évacuations, chauffe-eau, salles de bains, cuisines, sanitaires publics. Ce côté indispensable donne au métier une vraie stabilité : quel que soit l’endroit ou l’époque, on aura toujours besoin de professionnels capables de garantir une bonne gestion de l’eau et du chauffage, d’où la pertinence d’opter pour le CAP MIS. Sur un chantier : rigueur et précision Le quotidien d’un monteur sanitaire commence souvent sur un chantier. Là, il participe à la création ou à la rénovation d’un bâtiment. Ses missions consistent à lire les plans, poser des canalisations, raccorder des équipements et vérifier l’étanchéité des installations. Chaque geste compte : une canalisation mal fixée ou une soudure imparfaite peut provoquer de gros dégâts. Le travail demande donc rigueur et minutie. Mais il n’est pas uniquement manuel : savoir lire un schéma technique, respecter les normes de sécurité et anticiper les besoins du chantier font partie des compétences clés. Travailler sur un chantier, c’est aussi évoluer en équipe. Monter un réseau d’eau ou un système de chauffage ne se fait jamais seul. Le monteur sanitaire collabore avec des maçons, des électriciens, des peintres. Il doit donc savoir communiquer et s’adapter au rythme collectif. En maintenance : réactivité et contact client À côté du chantier, la maintenance occupe une part importante du métier. Ici, les interventions sont souvent imprévues : fuite d’eau, ballon d’eau chaude en panne, robinetterie à changer. Le monteur sanitaire se déplace alors chez des particuliers, dans des immeubles collectifs ou dans des structures publiques. Ce type de mission demande de la réactivité. Le problème doit être identifié rapidement et réparé efficacement. Mais il exige aussi du relationnel : expliquer la panne au client, rassurer, proposer des solutions adaptées. En ce sens, la maintenance permet aux élèves plus réservés de développer leur sens du contact. On ne vient pas seulement “réparer un tuyau”, on apporte un service indispensable au quotidien des gens. Devenir monteur sanitaire : un équilibre entre physique et technique Le métier est souvent perçu comme physique, et c’est vrai : porter des matériaux, travailler accroupi ou en hauteur fait partie du quotidien. Pourtant, l’aspect technique est tout aussi présent. Les outils numériques, par exemple, sont de plus en plus utilisés pour concevoir les plans, suivre les interventions ou commander des pièces. Ainsi, le CAP Monteur en Installations Sanitaires ne forme pas seulement à l’effort physique. Il développe aussi la capacité à analyser, à anticiper et à utiliser les technologies modernes. Ce mélange attire des profils variés : ceux qui aiment le concret et ceux qui apprécient la logique technique. Les compétences que l’on développe au fil du CAP Monteur Sanitaire Tout au long du CAP MIS (RNCP 38305), les élèves apprennent à : Ces apprentissages ne restent pas théoriques. Les stages et l’alternance permettent de les mettre en pratique dans des situations réelles. C’est ainsi que l’élève découvre la différence entre un chantier long et planifié, et une intervention rapide en maintenance. Des perspectives d’avenir renforcées par la transition écologique Le métier de monteur sanitaire évolue avec les enjeux environnementaux. Aujourd’hui, les installations doivent être économes en eau et en énergie. Les professionnels sont sollicités pour poser des équipements modernes : robinets économiseurs, chauffe-eau thermodynamiques, systèmes de récupération d’eau de pluie. Cette dimension écologique enrichit le quotidien du métier. Elle apporte aussi de nouvelles opportunités pour les jeunes diplômés. Le monteur sanitaire ne se contente plus de reproduire des gestes traditionnels : il participe à l’adaptation du bâtiment aux défis actuels. Les débouchés après le CAP Monteur Sanitaire Après l’obtention du diplôme, le jeune diplômé peut travailler dans des entreprises de plomberie, de chauffage, de construction ou de maintenance immobilière. Certains choisissent d’intégrer rapidement le marché du travail, tandis que d’autres poursuivent leurs études. Les poursuites possibles incluent le Bac Pro Technicien en Installation des Systèmes Énergétiques et Climatiques ou le Bac Pro Maintenance des Systèmes Énergétiques et Fluidiques. Ces formations ouvrent vers des postes plus spécialisés et mieux rémunérés. La formation au sein de l’ORT L’Ecole de Travail ORT propose le CAP Monteur en Installations Sanitaires dans un cadre adapté aux jeunes qui cherchent à combiner théorie et pratique. L’accompagnement personnalisé, les partenariats avec des entreprises locales et l’importance accordée aux stages facilitent l’entrée dans la vie active. De plus, l’encadrement met l’accent sur la polyvalence : être capable d’agir sur un chantier collectif, mais aussi d’intervenir seul lors d’une maintenance. Cette préparation correspond parfaitement aux réalités du métier. Conclusion : un quotidien riche et varié Être monteur en installations sanitaires, ce n’est pas seulement poser des tuyaux. C’est évoluer entre deux univers : le chantier, où la rigueur technique et le travail en équipe dominent, et la maintenance, où la réactivité et le contact humain priment. Le quotidien est exigeant, parfois physique, mais il est aussi gratifiant. Chaque journée apporte son lot de défis et de solutions concrètes. Pour les jeunes attirés par un métier utile, technique et humain à la fois, le CAP Monteur en Installations Sanitaires représente une voie solide et porteuse d’avenir. L’École de Travail ORT Paris est un établissement du réseau ORT France, dédié à la formation professionnelle et continue, en Bac Pro, CAP et jusqu’au Bac+3. Située dans le 4e arrondissement de Paris, notre école propose des formations spécialisées dans les métiers

Envie de travailler dans le bâtiment sans être sur les chantiers ? La Licence Pro BIM est faite pour toi !

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Tu veux travailler dans le bâtiment, mais les chantiers ne sont pas faits pour toi ? La Licence Professionnelle Énergétique et Fluides du Bâtiment, option Management de projet BIM, te propose une voie différente. Cette licence pro BIM forme à des métiers techniques, en lien avec la performance énergétique et la modélisation numérique. Le BIM, pour « Building Information Modeling » (modélisation des informations du bâtiment), est une méthode de travail collaborative. Elle permet de concevoir, construire et gérer un bâtiment de manière plus efficace. Cette formation te donne donc les compétences pour intervenir sur des projets durables, en utilisant des outils modernes et une approche globale du bâti. Qu’est-ce que la Licence Pro Énergétique et Fluides du Bâtiment ? Cette licence pro BIM forme des techniciens experts. Tu apprends à modéliser, analyser et améliorer la performance énergétique des bâtiments. Elle combine la thermique, les fluides et le numérique. Tu utilises notamment des outils comme Revit ou AutoCAD. Ainsi, tu te prépares à gérer des projets de construction ou de rénovation plus durables. Ce qu’on apprend pendant en Licence Pro BIM Pendant la formation, tu découvres la thermique du bâtiment et la gestion des fluides. Tu explores aussi les règles énergétiques et les exigences réglementaires. De plus, tu maîtrises les logiciels BIM à travers des exercices pratiques. Les enseignants t’accompagnent à chaque étape. En outre, l’apprentissage repose sur des projets et des situations réelles, caractéristiques de la licence pro BIM. La licence Pro BIM, disponible en alternance Cette formation existe uniquement en alternance. Tu partages donc ton temps entre l’école et l’entreprise, ce qui te permet de consolider tes acquis. Tu appliques directement ce que tu apprends en cours. Ainsi, tu gagnes de l’expérience concrète. Tu construis aussi ton réseau professionnel. En plus, tu reçois une rémunération pendant toute ta formation. Les métiers accessibles après la Licence Pro BIM Après cette licence pro BIM, plusieurs métiers s’offrent à toi. Par exemple, tu peux devenir technicien ou chargé d’études en thermique. Tu peux aussi travailler comme modeleur ou coordinateur BIM. Un poste d’assistant chef de projet en bureau d’études est à ta portée. Enfin, tu peux conseiller les entreprises sur leur performance énergétique. Ces fonctions s’exercent principalement en bureau d’études ou en entreprise du bâtiment. Les débouchés et les niveaux de salaire à la sortie Les compétences en énergie et en BIM sont très recherchées. Ainsi, les offres d’emploi sont nombreuses et variées. Tu peux rejoindre une collectivité, un bureau d’études ou un promoteur immobilier. Dès le début de ta carrière, tu peux gagner entre 26 000 et 30 000 euros brut par an. Ensuite, ton salaire progresse rapidement avec l’expérience. Les poursuites d’études possibles après la Licence Pro BIM Tu peux entrer sur le marché du travail dès la fin de la licence. Toutefois, tu peux aussi poursuivre tes études. Par exemple, certains étudiants choisissent un master pro dans l’énergie, le bâtiment ou le BIM. D’autres préfèrent intégrer une école d’ingénieur par admissions parallèles. En fin de compte, le choix dépend de ton projet professionnel. Pourquoi choisir de faire cette formation à l’ORT ? L’ORT propose une formation reconnue par l’État, avec un titre inscrit au RNCP. En plus, les enseignants, tous professionnels en activité, transmettent leur expérience. Tu bénéficies d’un suivi personnalisé pendant toute l’année. Les projets sont concrets, adaptés aux besoins du terrain. Enfin, l’école mise sur un accompagnement humain et exigeant pour t’aider à réussir dans ta licence pro BIM. École de Travail ORT Paris La licence est proposée à l’École de Travail ORT Paris. Ce campus moderne et bien situé se trouve en plein cœur de Paris. Ainsi, tu restes proche des entreprises et des opportunités professionnelles. Le matériel à disposition reste récent et adapté. En plus, tu profites d’un réseau actif pour trouver ton entreprise d’accueil. Modalités d’inscription Tu peux postuler sur Parcoursup ou directement sur le site de l’école. L’admission demande un Bac+2 technique : BTS, DUT ou formation équivalente. Le jury étudie donc ton dossier avec attention. Un entretien permet parfois d’échanger sur ton projet. Globalement, l’école recherche des candidats motivés, curieux et impliqués. Cette licence pro constitue une vraie passerelle vers les métiers du futur. Une licence pro BIM t’ouvre les portes d’un secteur utile, stable et en constante évolution. Si tu veux contribuer à la construction durable, cette formation est faite pour toi. L’École de Travail ORT Paris est un établissement du réseau ORT France, dédié à la formation professionnelle et continue, en Bac Pro, CAP et jusqu’au Bac+3. Située dans le 4e arrondissement de Paris, notre école propose des formations spécialisées dans les métiers du bâtiment, de l’énergie et de la maintenance. Nous offrons des parcours en alternance, permettant aux apprenants de développer des compétences techniques tout en acquérant une expérience professionnelle significative. 

Le Bac Pro : pourquoi il ne faut pas sous-estimer cette voie de réussite

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Le Bac Pro est encore parfois perçu comme une voie « par défaut ». Pourtant, il constitue aujourd’hui une formation solide, reconnue et adaptée aux jeunes qui veulent apprendre concrètement un métier tout en gardant la possibilité de poursuivre leurs études. Parents, élèves : il est donc temps de dépasser les clichés et de découvrir pourquoi ce diplôme mérite toute votre attention. Qu’est-ce qu’un Bac Pro ? Le Bac Professionnel est un diplôme national de niveau 4. Il se prépare en trois ans après la classe de troisième. Contrairement aux idées reçues, il ne ferme aucune porte. En réalité, il offre un accès direct à l’emploi et la possibilité de continuer en BTS ou en école spécialisée. De plus, il combine cours généraux, enseignements techniques et surtout de nombreux stages en entreprise. Ainsi, il forme des jeunes rapidement opérationnels dans leur domaine. Ce qu’on apprend dans un Bac Pro Un Bac Pro n’est pas seulement un diplôme scolaire : c’est une expérience concrète. Les élèves développent à la fois des savoirs théoriques et des savoir-faire pratiques. Ils apprennent aussi à travailler en équipe, à gérer des projets et à s’adapter à des environnements professionnels variés. Par exemple, le Bac Pro Technicien en Prothèse Dentaire proposé à l’ORT Montreuil prépare à un métier qui allie technicité et précision. De leur côté, les étudiants qui évoluent dans le domaines des Métiers de l’Accueil acquièrent des compétences en communication et en gestion de la relation client, utiles dans de nombreux secteurs. Le Bac Pro, une formation professionnalisante La force du Bac Pro réside dans son ancrage dans la réalité. Chaque élève effectue entre 18 et 22 semaines de stage en entreprise au cours des trois années. Ces périodes d’immersion renforcent la confiance, développent l’autonomie et permettent de créer un premier réseau professionnel. Elles rassurent aussi les parents : les jeunes ne restent pas dans un cadre purement théorique, ils testent directement leurs compétences sur le terrain. Ainsi, un élève en Bac Pro dans le domaine de l’informatique découvre très tôt les réalités du numérique et de la cybersécurité, des secteurs en plein essor. En conséquence, le Bac Pro constitue une formation adaptée aux besoins du marché. Les débouchés après un Bac Pro Contrairement aux préjugés, le Bac Pro ne se limite pas à une insertion rapide. En réalité, il offre une grande diversité de parcours. Beaucoup de diplômés choisissent d’entrer directement sur le marché du travail. Les entreprises recherchent des profils opérationnels, capables de s’adapter. D’autres décident de poursuivre en BTS, voire en licence professionnelle, pour affiner leurs compétences. Ainsi, un Bac Pro devient souvent la première étape d’un long parcours de formation, avec des perspectives d’évolution vers des postes à responsabilité. Par conséquent, il ne doit pas être considéré comme une fin en soi, mais comme un tremplin. Les poursuites d’études possibles Le Bac Pro ne ferme pas les portes de l’enseignement supérieur. Bien au contraire, il les ouvre. Chaque année, de nombreux bacheliers pro intègrent un BTS dans la continuité de leur spécialité. Par exemple, un élève du Bac Pro AGOrA (Assistance à la Gestion des Organisations et de leurs Activités) peut poursuivre en BTS Gestion de la PME. De plus, les Bac Pro industriels permettent d’accéder à des BTS techniques. L’ORT accompagne activement les étudiants dans ces choix, grâce à un suivi personnalisé et à des conseils adaptés au projet de chacun. Ainsi, les jeunes peuvent envisager un parcours évolutif, du Bac Pro au Bac+3, voire plus loin. Pourquoi choisir un Bac Pro à l’ORT ? L’ORT propose 12 Bac Pro différents dans des secteurs porteurs : numérique, administratif, commercial et santé. Ces formations existent au sein de plusieurs établissements : Marseille, Lyon, Toulouse, Montreuil, l’École de Travail ORT Paris et Villiers-le-Bel. Tous ces diplômes sont reconnus par l’État. Les enseignants, proches du monde professionnel, accompagnent les élèves dans leur progression. Les effectifs à taille humaine permettent un suivi attentif. De plus, les stages, soigneusement préparés, valorisent les compétences acquises. Enfin, l’ORT encourage les projets, l’autonomie et la confiance en soi, afin que chaque élève trouve sa place. En résumé, l’ORT met tout en œuvre pour que ses élèves réussissent. Des campus tournés vers la réussite Les Bac Pro de l’ORT existent sur plusieurs sites. Chaque campus met à disposition un environnement moderne, du matériel adapté et un réseau d’entreprises partenaires. Les élèves bénéficient donc de conditions d’apprentissage motivantes et concrètes. Grâce à cette organisation, chaque jeune peut évoluer dans un cadre favorable. Modalités d’inscription L’inscription en Bac Pro se fait généralement après la classe de troisième. L’orientation se construit avec l’équipe éducative et la famille. À l’ORT, les élèves peuvent candidater directement en contactant l’établissement. L’équipe pédagogique étudie chaque dossier avec attention et propose parfois un entretien pour mieux cerner la motivation du candidat. De plus, les parents participent activement à cette démarche, ce qui garantit une orientation réussie. Ainsi, l’élève avance avec confiance et clarté vers son projet. Conclusion Le Bac Pro est une voie de réussite, souvent méconnue. Il prépare à des métiers recherchés, développe l’autonomie et ouvre la porte à des études supérieures. Loin des clichés, il constitue une formation complète, équilibrée et rassurante pour les familles. En choisissant un Bac Pro à l’ORT, les élèves trouvent un cadre exigeant mais bienveillant, tourné vers l’avenir et l’insertion réussie. Ce n’est pas une voie de secours : c’est un choix d’avenir, construit avec méthode et détermination. ORT France est un réseau d’écoles présent à Lyon, Marseille, Montreuil, Paris, Strasbourg, Toulouse et Villiers-le-Bel. Elles proposent des formations du collège au bac +5 dans les domaines du digital, de l’énergie, de la mode, du paramédical et du tertiaire. Découvrez l’étendue de nos formations.