ORT France sera présent au Salon des Ecoles juives 2024, dimanche 21 janvier 2024 à l'hôtel Pullman. Après une édition précédente fructueuse, nous sommes impatients de vous retrouver pour vous présenter nos formations.
Nos écoles, dont Montreuil, Strasbourg et Villiers-le-Bel seront présentes pour vous dévoiler leurs cursus stimulants et discuter des opportunités uniques qu'elles offrent.
Nous espérons donc vous voir nombreux au Salon des Écoles Juives. Vous pourrez en savoir plus sur notre engagement en faveur de l'éducation et de la formation.
C'est l'évènement incontournable réunissant toutes les écoles juives en un même lieu lors d'un évènement inédit. En 2024, se déroule la 5e édition de cet évènement ! Plus de 100 exposants de l'éducation formelle et informelle seront présents. Un parcours pour parler de l'orientation, des études supérieures ou encore des mouvements de jeunesse.
C'est l'occasion de (re)découvrir ORT France, une institution de 8 écoles en France proposant des formations de la 6e au Bac +5 en initial ou en alternance allant de la comptabilité au digital en passant par le paramédical ou la mode.
Le groupe ORT France est un réseau d'écoles présent à Lyon, Marseille, Montreuil, Paris, Strasbourg, Toulouse et Villiers-le-Bel, proposant des formations du collège au bac +5 dans les domaines du digital, de l'énergie, de la mode, du paramédical et du tertiaire.
Pour en savoir plus sur nos formations, c'est ici.
Dans cette rubrique d'actualité, nous découvrirons l'étendue des formations du supérieur et nous continuons ainsi avec les métiers du tertiaire.
Cette troisième semaine, nous abordons donc ensemble une de nos formations dans les métiers du tertiaire avec le BTS Banque, conseiller de clientèle.
Le BTS Banque, conseiller de clientèle est un diplôme de niveau III (bac+2) qui forme les étudiants à devenir des conseillers en banque et assurance. Les étudiants apprennent les compétences nécessaires pour conseiller les clients sur les produits et services bancaires et d'assurance. Ils sont en mesure de gérer les comptes clients, et résoudre leurs problèmes. Ils apprennent également les techniques de vente et de gestion de portefeuille de clients.
Après deux ans d'étude, les étudiants peuvent ensuite poursuivre leurs études en poursuivant une licence professionnelle ou en travaillant dans le domaine de la banque et de l'assurance.
Le BTS Banque, conseiller de clientèle est accessible après un baccalauréat général, technologique ou professionnel.
De plus, les débouchés à la suite de ce BTS sont variés :
A ORT France, ce BTS est proposé à Villiers-le-Bel. De plus, cette formation est disponible en initial avec un rythme de 30h en 1ère année et de 32h en 2ème année. Pendant ces 2 ans de formations, l'étudiant réalisera son stage sur 14 semaines.
Rencontrez différentes équipes pédagogiques reconnues et motivées à ORT France. Les professeurs sont spécialisés dans les matières enseignées. Notre réseau de partenaires entreprises est varié dans le secteur des banques et assurances, vous serez accompagné pour trouver votre stage.
Après votre parcours scolaire, vous pourrez rejoindre notre réseau Alumni pour partager et échanger.
Vous pouvez également trouver notre formation depuis le site Parcoursup.
Le groupe ORT France est un réseau d'écoles présent à Lyon, Marseille, Montreuil, Paris, Strasbourg, Toulouse et Villiers-le-Bel, proposant des formations du collège au bac +5 dans les domaines du digital, de l'énergie, de la mode, du paramédical et du tertiaire.
Pour en savoir plus sur nos formations, c'est ici.
Jeudi 9 décembre 2021, s’est déroulée au club de l’étoile à Paris, la remise de prix du concours d’écriture débuté en classe en octobre 2019, à l’initiative de Mme Villeneuve, leur professeur de Français.
Ce concours, organisé par BANLIEUE ACTIVE et France TV consistait à écrire la suite ou bien le Prequel d’un court métrage ayant pour thème la radicalisation : « Tu iras au paradis »
Nos élèves ont terminé 3e de ce concours national qui a généré plus de 500 scripts venant de la France entière et de Belgique, impliquant ainsi plus de 7000 jeunes. Lors de cette soirée, le film adapté du script gagnant « la promesse » fut projeté en avant-première et nos élèves ont pu y obtenir leur prix composé de T-shirt, d’un diplôme ainsi que d’un chèque.
L’aventure se poursuit quelques jours plus tard, avec la venue dans l’établissement d’une journaliste locale. En effet, la mairie de Villiers Le Bel, intéressée par la distinction de nos élèves, relatera cette aventure dans le journal de la commune et dans la diffusion d’un Podcast. Mme Staffe Caroline a donc interviewé nos élèves qui se sont prêtés au jeu des questions/réponses, lui confiant leurs sentiments ainsi que leur fierté d’être sur le podium.
Toute l’équipe pédagogique est fière de ses élèves et les remercie de cette image positive et investie qu’ils donnent de la filière professionnelle.
Dans le cadre de l’accompagnement personnalisé, les élèves de seconde ont décidé de s’engager. Et
c’est à travers l’écriture d’un scénario et la réalisation d’un film que cela a été possible. C’est à partir
de l’œuvre de William Shakespeare, Roméo et Juliette, que les élèves ont entamé la réécriture de la
pièce de théâtre dans le but de la moderniser et ainsi défendre des thèmes importants dans leur vie
d’adolescent : les relations amoureuses 2.0, les relations parents-jeunes adultes parfois tendues, et
l’utilisation intempestive des réseaux sociaux. Autant dire que Roméo et Juliette, rebaptisés Jules et
Romane pour le projet, ont fait un bond dans le temps.
L’ensemble des élèves a élaboré le scénario tout au long de l’année, encadrés par Mme Costa,
professeure de français, et M. Scala, professeur-documentaliste. Les castings se sont déroulés en
mars 2021 mais le confinement d’avril a mis le projet sur pause. A la fin de celui-ci, les enseignants se
sont interrogés sur l’avenir du projet et ont alors sondé les élèves sur leurs motivations. C’est à cet
instant qu’il y a eu une étincelle : point de départ d’un projet audacieux, périlleux mais à terme,
unique et porteur d’apprentissages tant pour les acteurs, les scénaristes, l’équipe technique
(impressionnante), que pour les enseignants.
En effet, d’un point de vue pédagogique, les élèves ont approfondi leurs compétences littéraires :
écriture d’un scénario, recherches d’analogies avec le texte de Shakespeare, choix des scènes à
réécrire, utilisation du registre comique… Les compétences techniques ont également été
exploitées : organisation et gestion des tournages, mise en scène des acteurs, choix des lieux de
tournage en extérieur et en intérieur, montage vidéo, gestion du son, prises de vue, gestion des très
nombreuses vidéos sur des Google drive créés pour l’occasion. Bref, un travail d’organisation
fastidieux pour un résultat grandiose, au-delà de nos objectifs.
Ce projet innovant a valorisé le travail de nos élèves que nous remercions fortement pour leur
investissement et leur motivation sans faille et ce jusqu’à la fin des tournages qui ont duré au delà de
l’année scolaire.
Le 13 septembre 2021, l’avant-première du court-métrage de 35 minutes Jules & Romane a eu lieu
et a rassemblé les élèves, leurs parents et l’équipe éducative lors d’une projection à la salle Jacques
Berrier de Sarcelles village. Après les photos officielles sur le tapis rouge, les élèves ont finalement
apprécié de se voir et de s’entendre sur l’écran de cinéma, à un âge où il est pourtant difficile de
s’accepter. Nous avons entendu dans la salle obscure, de la surprise et des rires mais nous avons
surtout ressenti de l’émotion et de l’émerveillement dans les yeux grands ouverts de nos élèves.
Au terme de la projection, les Césars de l’ORT Villiers-le-Bel ont été attribués aux élèves lors d’une
cérémonie de remise de prix surprise sous les applaudissements du public : meilleure actrice,
meilleur acteur, second rôle féminin, second rôle masculin, espoir féminin, espoir masculin, meilleur
réalisateur….
Ce projet du début à la fin représente une grande satisfaction pour les enseignants qui reçoivent les
commentaires des parents : « Ma fille a vraiment du talent ! », « Je n’ai pas reconnu mon fils ! »,
« Vous représentez beaucoup pour les élèves ! », « Merci pour votre travail ! ».
Et des élèves : « Magnifique film ! Bravo et merci à tout le monde ! », « C’était hyper bien, très beau
projet ! », « C’était un plaisir de travailler avec vous et toute la classe », « Vous avez fait un travail
remarquable tout au long de l’année, sans vous il n’y aurait pas eu de film ! ».
Même si nous sommes conscients d’avoir enrichi les compétences de nos élèves, cela n’aurait pas
été possible sans cette classe si motivée et si investie, sans un minimum de persévérance, d’audace,
d‘harmonie et d’un peu de magie.
Saméra Costa & Frank Scala
Nos élèves de troisième et de première ont écouté dans un silence impressionnant deux histoires d’enfant juif caché durant la seconde guerre mondiale.
C’est l’histoire d’un petit garçon, il s’appelle Samuel Pintel. Son père juif polonais, engagé volontaire dans l’armée française est fait prisonnier en 1940. Il nous confie avoir eu une chance « insolente ». En effet, à trois reprises, il a échappé à une rafle. Il a six ans lorsqu’il voit sa mère monter dans un camion allemand. Quelques minutes auparavant, au cours de la rafle, elle lui avait intimé l’ordre de prendre la main de la jeune femme à côté de lui. Celle-ci n’est pas juive, elle déclare que Samuel est son fils et, de fait, lui sauve la vie. Le petit garçon est ensuite pris en charge par l’OSE et il est conduit dans une maison d’enfants. Il faudra attendre le procès Barbie en 1987, pour que Samuel reconnaisse la maison d’Izieu et qu’il réalise que c’est là qu’il a passé les mois de novembre 1943 à janvier 1944 et qu’il a, une fois de plus, échappé à la rafle qui a scellé le sort des 44 enfants exterminés à Auschwitz. Il réalise qu’il les connaissait tous. C’est pour eux qu’il parle aujourd’hui. Il est également devenu le secrétaire général de l’association du « Musée mémorial des enfants d’Izieu ».
C’est l’histoire d’une petite fille. Elle s’appelle Claire Leibovici. Elle aussi est âgée de six ans lorsque son père est arrêté par la police française et la Gestapo. Il est déporté sans retour à Auschwitz. Sa mère entre en résistance. Après la rafle du Vel d’hiv, alors que les arrestations se multiplient, Claire est cachée dans une institution catholique. Lorsque les soldats allemands font irruption dans l’église, c’est grâce à son petit chapelet rose qu’elle tient en faisant mine de prier, qu’elle échappe à l’arrestation. Après la guerre, par peur d’une résurgence de l’antisémitisme, elle tait sa judéité. Même son mari ignore son appartenance religieuse et elle fait baptiser ses deux fils. Ce n’est qu’en 1994, un soir de Hanoucca, lors de la visite d’un émissaire du Rabbi de Loubavitch qu’elle renoue avec le judaïsme. Un de ses fils se convertit et devient un ardent pratiquant, l’autre déclare : « être né catholique et le rester ». Les attentats de Toulouse commis par Mohamed Merah la pousse à témoigner des violences commises par des idéologies nauséabondes.
Mr Pintel a terminé son intervention en interpellant les élèves : « Aujourd’hui, ça devient sérieux ! Vous devenez témoins ! » Quant à Mme Leibovici, elle les a invités à la tolérance et à la vigilance.
Qui, devant prendre la parole devant un auditoire n’a pas ressenti un véritable malaise : des mains moites, un cœur qui s’emballe, un rougissement ainsi que la peur d’être jugé. Nous sommes peu préparés à affronter cette situation qui peut toutefois être déterminante comme lors d’un examen ou d’un entretien d’embauche. Le ministre de l’Education nationale du Front Populaire, Jean Zay, constatait déjà que « l’écolier apprend à lire, à écrire, à compter, à raisonner non à parler ». De plus, il est commun d’admettre que l’enseignement de l’oral est une « faiblesse française ». C’est pour pallier ce manque que l’Education nationale œuvre à une implantation de plus en plus prégnante de l’oral dans chaque cycle et chaque discipline jusqu’au grand oral du baccalauréat qui entrera en vigueur en juin 2021.
C’est dans cette perspective que nos élèves de seconde qui ont une heure dédiée au théâtre dans leur emploi du temps, au cours du premier trimestre, se sont exercés à l’art de la prise de parole en public. L’acteur et l’orateur partagent en effet des techniques similaires. Ils ont ainsi, au fil de leurs différentes interventions, acquis des compétences qu’il leur sera aisé de réinvestir comme : poser sa voix,
Les professeurs de lettres et les professeurs documentalistes qui ont encadré les élèves ont décidé d’organiser un concours d’éloquence qui s’est tenu la veille des vacances d’hiver. Nous avons contacté Maitre Bertrand Perier. Il est l’auteur de « la parole est un sport de combat ». Nous avions découvert son enseignement dans le remarquable documentaire « A voix haute ». Celui-ci avait accepté de présider notre jury. Malheureusement, les grèves du mois de décembre ont eu raison de sa présence parmi nous.
Tout d’abord, nos élèves ont discouru sur « sommes-nous vraiment libre de choisir un métier ou la représentation …. Ce fut un galop d’essai, puis, il y eut l’entrée dans la compétition. Pour déterminer les finalistes de notre concours, nos jeunes orateurs se sont demandé si la Reine des Neiges pouvait offrir la solution pour pallier le dérèglement climatique. Il fallut sélectionner 8 élèves sur les 90 qui s’exprimèrent. Puis, le jour de la finale arriva. Entre enthousiasme et angoisse, nos huit finalistes se sont présentés face à tous les élèves des classes de seconde et de troisième et à un jury composé de la direction de l’établissement et d’enseignants. Le sujet était : « Faut-il pousser mémé dans les orties ? ». La maîtrise de l’exercice, la virtuosité et l’humour des orateurs ont enchanté l’auditoire.
« Le grand oral vient dès lors comme un aboutissement de la scolarité et parachève ce processus de maturation individuelle au sein de la classe en même temps qu’il ouvre aux exigences de l’enseignement supérieur, de la vie sociale et professionnelle et de l’engagement citoyen. »
Faire du grand oral un levier d’égalité des chances rapport de Cyril Delhay remis à Jean-Michel Blanquer, ministre de l’Education Nationale.
A l’approche de la fête de Roch Hashana, L'ORT Villier-le-bel vous adresse tous ses vœux de santé et de bonheur pour la nouvelle année.
Un parcours Avenir a été mis en place en classe de 4ème. Ce parcours doit permettre à chaque élève de découvrir le monde économique et professionnel, de développer le sens de l’engagement et de l’initiative et enfin de permettre d’élaborer son projet d’orientation scolaire mais aussi professionnel.
Pour rappel, un enfant qui a un projet d’avenir est plus beaucoup performant à l’école.
Pour permettre à chaque élève de pouvoir se projeter dans l’avenir et d’appréhender son parcours professionnel, nous organisons un FORUM DES METIERS :
Le lundi 11 novembre 2019 de 9h00 à 11h00
Nous recherchons des parents volontaires pour participer à cet événement. Nous souhaitons créer des pôles d’activité afin de couvrir un maximum de domaines : économie, la gestion, le droit, la communication, l’art, le patrimoine, les ingénieurs, le sport, la santé……
Susciter l’intérêt et la curiosité des élèves est primordial ! Une partie de leur avenir se joue là ; dans ces premiers contacts avec le monde professionnel.
Pour participer à cette matinée d’échange avec les élèves :
Merci de nous envoyer par mail votre nom, prénom, numéro de portable et votre métier. Vous serez très rapidement contacter par nos soins.
Contact mail : frank.scala@ort.asso.fr
En vous remerciant par avance